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pouvoir me.dire
ú
cette femme connoilfoit
M. Greville. Je fuis allé auffitot daJJ.s
Bound(~
treet: madame Breflon m'a dit qu'elle te
noitcene nouvelle de
Gr
Hargrave Pollexfen,
9.uis'étoit expliqué fur
M.
Greville avecaí
lezde chaleur, pour en faire craindre des
Cuites;
ce
qui ne
l'
avoit rendue que plus ardente
a
informer miladi , pour les prévenir.
A
préfent , Monfieur,. quand on f<t rap–
pelle le ma[que
a
lanterne
fo
urde ·(infor–
mation qui nous vient de
fo:
Hargrave; car
nous n'avons pas vu ce
mafqu~
nous-memes)
&
le
défir qu,.avoit
Mr
Gréville de
1101$
perfuader de
fon
départ, peut-il refier quel–
que doute..... Cependant c'efl de
fir
Har–
grave que vient l'infonnation;
&
n!eíl:-ilpas
vraifemblable que
M.
Greville.lui auroit ca–
ché
fa
marche avec autant de foin qu'a nous?·
Je veux aller fm le champ chez fir Hargrave.
Il
devoit d!ner chez lui; il
y
attendoir com–
pagnie :
{i
je ne puis obtenir de le voir,
s'il·
efl abfenr.•. Mais fofpendons les eonjeél:ures
jufqu'a mon reronr.
o
monfieur
!
Je commence
a
croire que
j'ai fait une injuflice
a
M.
Greville. Jerrem–
ble que votrechere niece ne foit tombée dans
des mains incomparablement pires que
les
íiennes. Sir Hargrave n'efl
pas
chez lui;
i~
y
efl ;
il
a
compagnie: on ne fauroir
lui
parler. Telles
font
les différenres réponfes
que
j'a:i
rec¡ues de fon portier. J'ai remarqué.
dans cet homme
autal1.t d'
embauas
~
qu'ila