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GttANn1s s oN.
1
3 ;
ta
main :
&
les ayant accomp
agnés lui-meme
jufqu'a la derniere. porte du
jard.in, il a re·
fufé d'allwner la chandelle d
e leur la.nterne ,
mais il leur a donné, pour les conduire , un
homme qui les a fair pa!fer par des melles
fort fales
&
fort
rudes, pour aboutir a
l'
en-
trée d'un fentier qui menoir vers Londres.
..-¡
Il eíl: clair qu'on n'a pas eu d'aurres vues
que de leur rendre le chemin difficile
a
retrouver.
Dn eíl: parvenu
a
nous amener
l'
autre
porreur :
il
fait exaétemenr le meme récit.
Je leur
ai
demandé
a
tous deux quelle forre
d'homme ils onr cru voir en manteau; mais
il apportoit tant de foin
a
fe couvrir ,
&
da.nsla maifon comme en chemin , ils ont
eu íipeu d'occaíion de
1'
obferver que je
n'ai pu tirer beaucoup de lumieres de leur
defcription. Sur leurs propres offres,
j'
ai
trouvé bon qu'ils retournaffent au meme
lieu, avec les porteurs de miladi Williams,
pour effayer de reconno1rre leurs traces.
Avec quelle ardeur n'embraffe-t-on pas les
plus foibles reffources, lorfqu'il ne fe
pré~
Jeme rien de plus certain
?
'
J':ú
voulu fav'Oir de milad.i Williams d'oil
elle avoit appris que M. Greville, n'avoit
pas quitté Londres,
&
fe propofoit d'y de·
meurer fecrérement. Elle m'a nornmé
unemadame Breíl:on, de Bounclfueet (
i<) ,
lfa.us( • )
.l.u.i:
de Lo11d1e1,
1