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1!

~"l!ant

qu'dle

ait paru

~,

ep

appercevoir; alor&

meme elle leur a parré trois fois , fans fi.U'ils;

~ent

paru l'entendre;

mais

a

la troiíieme"

i1s

Ce

font-arretés,

&

le laquais s'eíl: préfenté:

pour'recevoir-fes ordres.

Ou

fuis-fé, Wilfon;.

a-t-elle dem.andé ?

Il

a répondu qu'if ne ref–

toit

q~'un

pas jufqu'au logis.

ffme

fe-mble,.

a.--t-elle repris, qu'on

m'

a

fuir

faire un forr

grand tour : le traítre a :i:épliqué qu on

y

avoit–

~té

forcé, pour éviter

la.

foule d'es carroífes.

&

des chaifes.

Les porteurs ont recommencé

a

marcher;,

&

fe font vus j0indre,. comme vVilfol'l les

en avoit a'7ertis, partrois hommes, dont ils

out pris l'un pour

le

maítre, parce qu'il por–

toir nn mantea.u ren;ouífé for le vifage, &

qu'iI avoit

a

fa

main

une

fon

belle épé.e

~

mais il

~1'a

pas dit un mor.

Il

n'a cfomJ.é aucua

Qrdre :-

il

s

efl:

temu d'erriere

~a

chaife, avec·

les

deux autrés,. ponr n'etre pas appers;u de

1.na

coufine.

A

Maribonne

(-l<),

elleapadéet'lcore. Bon

Dieu

!

a-t-elle dir avec plus d'inquiétude,

ou f

uis~je

mené.e ?· Poneurs, porteurs , ar–

t;erez~

Wilfon

l

Appellez mon taquais, por–

teurs.

Ils

l'ont appellé :-

ils ont ouvert l:r

portiere; mais Dermot s'eíl: mis

íi

pres,,

qu'elle n'a

pu

voi

r fon loin devant elle.

Wilfon leur a

d.it

en s'al?procnant: quelle

I'enteur, en ef

fet?

Ne m aviez-vous pas

dit

que nous touchions

a

la rue ? Voyez dans

quelles alarmes vous fetez ma ma!ti;e.ífe.

( "' ) Villagc entre Londres

&;

Fadiilgtoa.