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I
R.
!:
(oJ:l fr€re
~voit
fervi ;
&
j'
ai eu l'imprudence
de laiffer échapp·er quelques menaces ,
gui l'ont.fans doute:effi-ayée: car, lorfqueje
fo.is reve.nua
Bagenhall, elle m'a2rotefré qu'
elle ne feroit pas d'aucre réponfe , jufqu'a ce
qu'elle
f~t
fi
la vie de fon frere étoit en
danger. Je lui
ai
garanti la vie
de
fon frere,
pourvu qµ'elle me le fit retrouver avant
qu'il ffit arrivé l.e rnojtfdr
e mala
fa maicreífe,
&
je lui ai demande ou il
fallo.irei.woyer.
Elle.
m'a <.{ir qu'elle o'en fa
voit rien,
&
je n'ai
pu tirer
U!1
mo~ ~e
plus. .Figure7-vous mon
a-an{port. Je
tui
.ai offert u11e· affez groífe·
fomme , pour m'apprendre feulement
cd
qu'elle favoit de Bagenhall,
&
de ceux
qui
employoient fon frere. Elle a juré qu'elle né
diroit rien ., -fans favoit auparavant s'il
y
avoit quelque danger pour
fa
vie. Que faire,
lorfque cec entretien meme s'étoit paífé fan9
témoins.
Je me fuis haré de retonmer ati logis,
pour rn'informer de ce qui pouvoit .
err~
arrivé élans mon abfence mais je reverrat
bientot cette femme,
&
j'aurai deux amis
avec ·moi, dans l'efpérance qu'il lui échap–
peraquelque~n:iots
dontnous pourrons riret
avantage. Pend:mt tol!ls ces délais , quel
eft
peut-etre le fort de norte chere enfanr
.!
J~
ne puis foutenir mes propres
crainr~s)
M1ladi
Williams eft dans uneaffiiél:ion inexprimable'.
J'ai
dépec
hé un homme
a
cheval,
a
un
allll
que J'ai
a
Readi.ng,pour erremieux informé
d.u
caraél:
ere de ·~Bagenhall. Dien fait
quel