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11'16

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. . Chaque moment nous ramene queique

me.tfager avec diff&ents récits; mais

il

ne

nous efr encore rien venude confolant. Gene

caifon me retiene au logis. O cher ami

!

Je

ne fais oi'1 tourner mespas;je nefaisaquelle

¡éfoluricn m'arreter. Je renvoie mes gens au

momentqu'ils arrivent; mais avec moins de

confiance que de dé[efpoir. Comptez que

cette.infame altion eft deM . Greville. Quoi–

que mon courier ne faífe que parrir, j'at–

tends fon retour avec w1e impatience mor· ·

relle.

Je jeterai achaque occafion fur le papier

tout ce qui pourra s'offrir , pour avoir tou–

jours une lettre pi;ere ,

&

la faire

partir

auíiir8t qu'il nous viendra quelque

lumiere.

Cependant je n'attends rien de décifif que

.de vous.

· Nos

foup~ons

commencent

a

tomber

furle

faquais , ce Wilfon , qui n'eíl: chez nous que

depuis trois jours. S'il n'éfoit pas melé

dan~

cette affaire, on auroit entendtl2arler

de

lUJ

ou des porteurs qu'il a loués. 11 foroit revenu

au logis. On ne me perfuadera point qu'ils

aient été enlevés ou a.tfaliinés

wus

trois.

Maudire mafcarade

!

Jamais, jamais.....

O Monfieu,r

!

le laquais de mifs

Byron

doit erre un infame coquin. Sally ( car roa

-femme

efl:

fi mal qu'elle 1e peut penfer arien)

Sallr , la fomme-de·chambre de norre chere

couílne,

s~eíl:avifée

de faire ouvrir le coftre

.-le ce miférable. On a forcé les ferrures.

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