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. . Chaque moment nous ramene queique
me.tfager avec diff&ents récits; mais
il
ne
nous efr encore rien venude confolant. Gene
caifon me retiene au logis. O cher ami
!
Je
ne fais oi'1 tourner mespas;je nefaisaquelle
¡éfoluricn m'arreter. Je renvoie mes gens au
momentqu'ils arrivent; mais avec moins de
confiance que de dé[efpoir. Comptez que
cette.infame altion eft deM . Greville. Quoi–
que mon courier ne faífe que parrir, j'at–
tends fon retour avec w1e impatience mor· ·
relle.
Je jeterai achaque occafion fur le papier
tout ce qui pourra s'offrir , pour avoir tou–
jours une lettre pi;ere ,
&
la faire
partir
auíiir8t qu'il nous viendra quelque
lumiere.
Cependant je n'attends rien de décifif que
.de vous.
· Nos
foup~ons
commencent
a
tomber
furle
faquais , ce Wilfon , qui n'eíl: chez nous que
depuis trois jours. S'il n'éfoit pas melé
dan~
cette affaire, on auroit entendtl2arler
de
lUJ
ou des porteurs qu'il a loués. 11 foroit revenu
au logis. On ne me perfuadera point qu'ils
aient été enlevés ou a.tfaliinés
wus
trois.
Maudire mafcarade
!
Jamais, jamais.....
O Monfieu,r
!
le laquais de mifs
Byron
doit erre un infame coquin. Sally ( car roa
-femme
efl:
fi mal qu'elle 1e peut penfer arien)
Sallr , la fomme-de·chambre de norre chere
couílne,
s~eíl:avifée
de faire ouvrir le coftre
.-le ce miférable. On a forcé les ferrures.
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