147 / 408
DU
CHnv.
G~ANDI.SSoN.
Iif
parlons plus. Grand Dieu du ciel
!
Que
~e
viendracettemalheureufe grand'mere?
Luc1e~
Nancy
~en
perdront la raifon
!
N'en parlons
plus. Hatez-vous de nous écrire ,
&
par–
clonnez le crouble de cene
lettre~
Je ne
fai~
ce qui eft forti de ma plume; mais je n'en
fuis pas moins
a
vous•
. GEORG E SELBY.
L E T T R E
X V 1 l.
M. BB vs$,
a
M.
s
I>r.»r.
LE
s gens de rniladi Williams ont -tróuvé
les porteurs de vorre chere niece. Ces deux
rniférables confeífent qu'ils ont éré pref–
qu'ivres morts. Us fontft'.lrs qu'on avoitmelé
quelquechofe dans leur liqueur.Leurs recher–
ches , pour trouver ceux qui les ont engagés
clans cecee partie, ont éré jufqu'a préfent
fans effet , mais c'étoient deux laquais , dont
ils déclarent la livrée ,
&
qui ont nommé leur
ma!tre
&
fa
rue. Nous ne connoiífons ni cette
livrée , ni le nom du ma1tre. Ainfi, cette
information ne nous donne pas _plus de lu–
mieres. Toutparo'.ltd'une infernaleobfcurité
clans le complot. Ces deux hommes font ré·
folus, difent-ils, de
r~trouver
les laquais
qui les oñt trompés ,.fuífent-ils fous cerre
~
' /)e
les porreurs qu'on a loués
a
leur place.
F
2
.