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l'embarras
a
ceux qu.i ont des prétentionf
for le creur de ma couíine. Il lui a vu deux
amants déclarés. Son premier deffein étoit
de paíf
er quelque temps ici ,
&
de prendre
pan au
:xamufoments.dela
ville; il avoit meme
comm
andé un équipage neuf. Cependant,
tout d'un coup,
&
quoiqu'il attend1t
M.
Fen· .
wick, il a prétei:du nous perfuader qu'il 6roit
fur fon départ ,
&
gu'il retournoit droit
a
Norrhampronshire, fans avcir obtenu de ma
couíine,
la
moindre explication en
fa
faveur.
T
outes ces circon!l:ances raffen1blées, il ne
paroír prefque pas douteux que
M.
Greville
ne
foit
au fond de cette noire aventure,
Aiiiíi vous prenclrez for ces lumieres toutes
les mefores que votre prudence pourra vous
infpirer. Si
M.
Greville n'eíl: pas retourné
dans vorre canton...... Si
M.
Fenwick.......
Sais-je moi-meme ce que je
doi,s
vous con–
íeiller? Le moins de bruit qu'on pourra fajre
fcra
le rnieux
>
jufqu'a ce qu'.on parvienne
a
quelque certitud.e. Que Ja nature de qme
cerritude me ca.ufo de crainte
!
Chere Hen•
rietre ) Mais je fuis fur que vous croirez
devoir apporter tous vos foins
a
cacher cette
ter.rible affaire
a
fa gr:.ind'mere
>
&
rneme
a
'Votre fermn.e : cependanr ces
pru~ent~
con–
feils peuvenr erre néceífc·U.res.
J'~i
íix perfonnes dans les différenrs quar·
tiers de la ville, avec ordre de prendre
d\!$
informations paqni les porteurs
IX
les
ccr
~hers.
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ne peut s'imaginer que le&nouveau
,l;iquais
foit
un
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