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I S

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!

aífure que c'eíl: la derniere fois, com111e

f:i

prerniere, que j'affillerai aux divertiíTemenrs

de cette nature ; mais il faut prendre une

idée des mafcarades. Atteridez-en toutes les

circoníl:ances dans ma premiere lettre : je

me r;préfente votre impatience. Donnez,

comme moi , chere Lucie, quelque chofe

a

votre imagination;

&

marquez-moi quel–

quefois ce que vous penfez des chafes

avanr

qu'elles arrivent. Que de jolies conqueresne

vous irnaginez-vous pas que votre Henriette

va faire fous un íi bel habit

~

LE T T RE X V.

M. R

B

r

B

s

,

a

M.

s

z

LB Y.

Vcndrcdi , ro Février,

e

ET TI:

lettre' mol1 cher moníieur Selby;

n'eíl: aujourd'hui que pour vous

&

pourfa

famille. Cependant ne foyez pas trop furpns;

mais ccmmenr vous apprendrai-íe les

nou·

velles, les terribles nouvelles

! ....

Ma femme

en efhombée, depuis trois heures du

matin,

dans des vapeurs

fort

violentes. Ne

foyez

pas... Mais comment puis-je vous dire

de

n'erre pas trop affiigée' lorfque nous

fomroes

nous-rnernes incapables de confolation?

· O mon cher couíin

!

nous ne favons

ce

Qu'eft devenue.n-otre

rres-chere

mifs

Byron.