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erai auíli exaél: fu_r les circoníl:ances ; que
t;na douleur
&
mon étonnement me le per–
merrent. C'efr une néceffiré, comme vous le
reconnoitrez. M. Greville, je le crains
fort.••
Mais commenc;ons
p~
}es circoníl:ances.
Nous étions , la nuit derniere , au bal de·
Haymarket ; -les porteurs de notre chere
coufme ) qui étoie1¡.t loués eo.mme les notres
pom: toute la nuit , fe font lai!fés engager
a
·boire. Ils avoienr promis a
Wilfop ,
le la:.
quais de mifs Byron, qu'ils foroient revenus
c;lans moins d'une heure; il n'étoit pas plus
de minuir. Wilfon les ayant attendus
inurile~
tµenr, l'e[pace de deux heures, a pris le parti
c;le louer une autre chaife pour fuppléer.
Entre deux ou trois, nous fommes conve1;ms
ele re;:tourner aulogis. La chere perfonne étoit
fariguée de l'attention que tour le monde a
marquée pour elle : tour le monde l'a vue
avec admiration. Elle vouloit _partir avant
1~ous;
mais miladi Williams l'a fait
confe~1tit:
a
demeµrer un quart-d'heure de plus. Je
~'ai
pas manqué de la co¡1duire jufqu'a
fa
chaif
e,
l1:c
je l'ai vue dedans, avant que de rendre
l!! meme office
a
mibdi
Williams
&
a ma
femme. J'ai
fort
bieñ ren¡.arqué que lacbai[e
& les porreurs n'
~toient
pas les
me~nes
qui
r
ayoient amenée.
J'
en ai demandé la raifon ,
&
j'ai rec;:u l'explicar_ion q¡¡e je vous ai déja
donnfo : elle s'eíl: har¿e d'y entrer)
a
caufe
de fes habit.<¡ ,
&
pour .ne pas
[e
refroidir
a
1'.air
?
fü111¡
compter que la curioíité
avoio–
MJ.ené
_pluf¡eurs \11afques apres eUet
'