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CH'.E
v.
GiitÁ
NDJ.~
s
ON.
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'demain. pour Nortampronshire , n'étoit
~t
parri, ni'dans le deffein de part>lli,
&
qu'a3
cóntraire , il étoit réfolu de demeurer
incog.:...
ni~o
a
L<imdres , pour obfer:ver tomes les
d~mar.ches de ma confine. Nous fu0rts d'ail-·
~urs
qu'il luí avoit rémoigné de la jaloufie–
fur
quelques vifirns, qu'elle ne s'eíl: pas-atri–
i:ées; je vous alfare; mais qu'elle n'a pu
fe
difpenfer de recev0ir.
Sir
Hargrave Pollexfen éroit au ·&al' etl'
habit d'arlequin.
Il
n'
a
pas été long-témps
?i
découvrii; notre charmante coufine;
&
mal–
gi;é le chagrín qu'il a eu de ne pouvoir
lhi
faire agréer fes offres , il n'a pas lailfé de l'ü¡;.
pader avec toute la polireífe a'un homme du
monde. M'ayant rencontré un peu avant:
norre déparr , il
m'
a demandé fi je n'avois–
pas
reconnu M. Greville entre les mafques
?'
Je luí
ai
dit que je n'y avois
pas
fair d'atten–
tion. N'avez-vous pas remarqµé , m'a-t-il
dit , un mafque en grand chapeau rabattli·,
avec un manteau de fcaramouche ,
&
une
lanterne fourde
a
la main, qu'il préfento!t
i'
tout le monde
?
C'
étoit
norre cher ami Gre–
ville.
A
la
vérité, j'avois obfervé plufieurS'
fois
ce mafque; mais je ne me fuis point rap–
pellé qu'il eúr
l'
air de M. Greville; il m'avoit
parubeaucoup plus gros.Cependant, comme
i1
vouloit qu'on le crút partí , on comprend
qu'il peut avoir déguifé.
fa
~aille.
Vous favez que M. Greville efl:
Ul'l
homme
entreprenant; il n'eíl:venu
a
Londres,comme.
il
l'
a déclaré
lui-meme,
que
pour
caufer
de-