J)t1
CHEV. G:llANDU SON.
q7
dil me
trouve~ d'imp,atien~e
;
m~s
il eíl:. évi–
dent pour m01 , qu 11 avo1t fes míl:ruél:ions.
En
un mor ,
j'
ai de forres raifons de croire
que
fir
Hargrave n'efl:
pas
rentré de toute
la nuit. L'homme
a
manteau ne peut etre
que lui. Tout ce qu'Alleíl:ris nous a dit de
fa
méchanceté ,
&
fa
conduite arrogante
avec notre chere mifs Byron, lorfqu'elle
a
rejeté
[es
offres ) ne me revient que trop
a
l'efprit. 'Grand Dieu
!
Seroit-elle tombée au
pouvoir d'un homme de cette trempe? Ah!
que ne puis-je m'en tenir
a
mes premieres
défiances
!
Greville, tour dangereux qu'il eíl:,
me
paroir plus honnete homme :
il
efl:
du
moins de bien meilleur naturel.
Il
n'auroit
pas
de vues
moins
honorables que le ma.–
i:iage
!
mais l'autte,
{i
c'efr lui.... je ne puis
.1t
je n'ofe me livrer
a
cette idée.
Les quatre porteurs viennent d'arriver.
Ils
croient avoir retrouvé le lieu ; mais, apres
y
avoir pris quelques informations ,
qui
me
.mettent plus que jamais
a
la torture) ils
fe
font
h~tés
de revenir , pour me demande1'
de·nouveaux ordres.
. S'étant adreífé au premier cabaret,
ils
fe
font infonnés
{i
l'
on ne connoiffoit pas
un
long jardín , avec une pone de derriere
,
qui donne fur une ruelle fort Cale,
&
fur les
champs. On leur a répondu qu'on le con–
noiífoit parfaitement
>
&
que la maifon
a
laquelle ce jardín appartient, donnoit fur la
¡rande rue.
I1s
fe Íont
fait
apporter quelque¡