Previous Page  165 / 408 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 165 / 408 Next Page
Page Background

bu

C

ltl!

V.

(j

1\.

A ND

f

SS

Ó

N;

t-4~

Ma

femme, roure affoiblie •\u

'elle eíl: d

e

ce

qu'elle a

fouffert

dans cette

occafi.on

>

voudroit faire le voyage avec

m

oi ; mais

il

vaut mieux

que

j'aille m'aifurer d'abord de

l'état de votre cher niece. Je [erai demain

a

cheva1' des la pointe du jour. Mon laquais

aura

w1

porte - manteau , reinpli par ma

femme

>

de rout ce qui convient

a

ce

[exe.

Mi[s Byron doit avoir paru bien étrang<;! dans

fes habits de bal aux yeux de fon libéra

....

teur.

Le couder, qui m'aremis la lettre, n'a ptt

me d'onner beaucoup d'informations ; mais

_voici

-!!\)

peu .de mots

ce

que

j'

ai tiré de fon

récit.

'5011

ma.ltre eíl: le chevalier

CH..arles

Grafzdi.f{o1J.,

revenudepuis peude

[es

voyages.

J'

ai

fouvent entendu parler de fon pere ,

Je

chevalier Thomas Grandiífon , qui _eíl: mort;

depuis quelques mois. L'homiete courier ne

finit poi.n.tftµ-les louanges ele

fon

bon maitre,

&

fait

auf'Ii

beaucoul' d'éloge de mifs Char–

fotte G¡:andiífon

fa

fa:ur.

Il

m'a dit qu,e

íir

Charles

1

~tant

parti

a

fix chevaux de Lon–

dres , avoit heureafen1ent rencontré notre

mal~ureufe

s;ouline,

Sir

Hargrave eíl:

l'in~

famé.

Je 'regrétte du fond du ca:ur d'avoir

f9~1p~<mné

M, Greville. Sir <::;harles Grnn–

diífon avoit fes affaires

a

Londres.

Il

a con–

tinué fop voya:g_e apres ·avoir délivré notre

c;here

fille,

&

l'avoir confiée aux foins

de{~

(a:ur. Que le cid

yer0

a

ja111ais

fes

béné.,

~él:ions

fur luí

!

:

(:$1

~ni:f~rap~~

Hwgi:ave

~ ~utant

que

1~