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44
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H
t
s
T
o
·1 R E
courier l'apu comprendre, eíl:
dangereu{e•
ment bleffe
!
Sir Charles
l'
eíl: auili ,
mais
fi
légérement , grace au ciel
!
que cet acci·
dent ne
l'
a point empeché de continuer
[:¡
route, aprts une
íi
glorieufe aélion. Je vou·
. lo
is donner une honnere récompenfe au con·
rier , il s'en eíl: défendu
íi
coníl:amment , en
me donnant pour excufe qu'il fervoit le plus
généreux de tous les maitres, que je me
fuis
vu obligé de retirer la main.
Je fais partir cette letti:.e par
un
expres.
Vousrecevrez les autres circoníl:ances
par
la
po.íl:e,
&
je me flatte de n'avoir
plus
rien
de malheureux
a
vous marquer.
Mais par•
donnez la confufion qui doit réfulter ici d'un
melange mal ordo
nné 'tel
qu'i~
doit avoit
été néceffairement
da.nsw1e
fi
terrible incer·
füude. Je fuis, &c
. ,A
R
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LETTRE XVIII.
M. R
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M.
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LB Y.
Samedi ,
t:8 Février.
J
L
ne faut pas fa.ire languir
un
moment
von·e impatience. J'arrive. Vous attendez de
moi .jufqu'aux moindres circoníl:a.nces
d'une
aventure
íi
révoltante,
&
tour ce qui regarde'
nette prqteéteur
&
fa
famille.
L'
Anglereri;e
na