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L<mdres
le
préfomptueux Hargrave-,
it
le rampant Fouler : cependant il
part
;,, fatisfait
de m'
avoir entendu déclarer que
je n'ai,
da.nsl'un ni dans l'autre de ces
•• deux ho
1nmes, celui pour lequel je puiífe
.,, me fentir de l'inc1ination "·· Vous voyez,
ma chere , que e'eíl:
1:111
complimenr
qu'il
[e fait
a
lui-meme ; car je me fouviens de
·mes termes ;
j'
ai dit que je n'avois point
·encore
V'U
d'homme dont je puífe penfe¡;
a
f..Lire mon mari.
Avant fon dépai't, M. Greville a dit mille
-chofes plaifantes fur le caraétere de fes ri–
vaux, íur ce qu'il appelle ma dureré de
cceur ,
&
fur les tourments du íien. Sir Har–
·grave étant venu dans le meme ternps
'j'ai
-vu naitre une converfation
fort
vive , done
f
ai
d'abord appréhendé les foites.
Mais
Mad. Reves m'a propof€ de jouer un air de
clavecín , qui a fait prendre un aurre coms
a
cette chaleur
~
&
le Baronnet , apprenant
que M. Greville devoit part'ir demain ,
eíl:
·forti plutot qu'il ne fembloit en avoir
€U
l'inrention , dans
1a
jeie appai:emrnenr de
fe
voir le champ libre.
En nous· quirrant , M. Greville a donné
.canier:
~n~ore a[~ fo
ll~ ima$,Ínation;
~ce
-tour d eípnt a íi bien
difpo.iepour lm m:r·
-dame Reves, qu'elle
le regarde, dir-elle,
-eomrne le plus amufant de tous mes impor·
·tuns. Mais qu'eft-ce done que rarr d'amU'
fer? ·J'ai répondu, d.'un ton aífez ffoid'
que M. Grevilk
eft
un•homme fans ma:urs;