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R
!!
il
a:
co11trefai
t monexclamation;
&
m'arra•
chant: l'auu·e
mai.iJ., fur laquelle il s'efi: haté
Cl'imprimer a
uili fes dents: vous ferez heu–
r~u!e
,.
m'a-t-il dit,
G
je vous en lailfe une;.
je vous mangerois volonriers toute
vive~
3.1
oila, ma chere , votre languiiTant , votre
inconfolable Grevrlle.
Je me fois fauvée dans la chambre voi–
Iine; il m'a foivie d'un a'Ír
fon
libre, ilm'a:
priée de lui laiffer voir mes mains ,
&
fe·
tm1rnant vers
M.
Reves,
jJ
lui a dit d'un
to.n plaifant: en vérité, fai penfé dévorer
vorre channante couíine; je
commen~ois
par fes mains..Cette marque de tranquillité.
&
d'a!furance
m'
a plus offenfée que
l'
aél:ion,
m~me
, parce qu'elle m'a fair connoitre que'.
fa
gaieté natureile
n '
étoit pom·t ahérée. Ce·
¡:iendant je
ü'
ai
pas
voulu paroítre rrop
férieufe; mais je craindl:ois ,
G
je me retrou–
vois feule avec cet homme-I.a , qu'il nemmi–
gear réellement :mes deux mains. En fonant
.il m'a
dit
qu'il me croyoit un peu revenrie
de ma frayeur. Voyez , a-t-il ajouré, ce
qu'
Qlil
gagne
a
réduire
un
hoanete homme
au défefpoir; mais vous voulez que
fe
quirre
la
ville
?
Souvenez - vous done de ce que–
'Vous
m'
avez déclaré.
JI
m'
á
laiífée Jort aife d,.etre délivrée
de
lui.
Pendant que
M.
Reves le conduifoit,
il
a d'it que pour aller au devat1t de rous
mes déftrs , il ne me rendroit plus qu'une–
vifüe -avant fon déparr ,
&
qu'il alloit éct'ire.
fur le champ
a
M.
Fenwick
qu'il retournt
en
Nonhamptonshire..