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106

H

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s

T

o

I

R

!!

il

a:

co11trefai

t mon

exclamation;

&

m'arra•

chant: l'auu·e

mai.iJ.

, fur laquelle il s'efi: haté

Cl'imprimer a

uili fe

s dents: vous ferez heu–

r~u!e

,.

m'a-t-il dit,

G

je vous en lailfe une;.

je vous mangerois volonriers toute

vive~

3.1

oila, ma chere , votre languiiTant , votre

inconfolable Grevrlle.

Je me fois fauvée dans la chambre voi–

Iine; il m'a foivie d'un a'Ír

fon

libre, ilm'a:

priée de lui laiffer voir mes mains ,

&

fe·

tm1rnant vers

M.

Reves,

jJ

lui a dit d'un

to.n plaifant: en vérité, fai penfé dévorer

vorre channante couíine; je

commen~ois

par fes mains..Cette marque de tranquillité.

&

d'a!furance

m'

a plus offenfée que

l'

aél:ion,

m~me

, parce qu'elle m'a fair connoitre que'.

fa

gaieté natureile

n '

étoit pom·t ahérée. Ce·

¡:iendant je

ü'

ai

pas

voulu paroítre rrop

férieufe; mais je craindl:ois ,

G

je me retrou–

vois feule avec cet homme-I.a , qu'il nemmi–

gear réellement :mes deux mains. En fonant

.il m'a

dit

qu'il me croyoit un peu revenrie

de ma frayeur. Voyez , a-t-il ajouré, ce

qu'

Qlil

gagne

a

réduire

un

hoanete homme

au défefpoir; mais vous voulez que

fe

quirre

la

ville

?

Souvenez - vous done de ce que–

'Vous

m'

avez déclaré.

JI

m'

á

laiífée Jort aife d,.etre délivrée

de

lui.

Pendant que

M.

Reves le conduifoit,

il

a d'it que pour aller au devat1t de rous

mes déftrs , il ne me rendroit plus qu'une–

vifüe -avant fon déparr ,

&

qu'il alloit éct'ire.

fur le champ

a

M.

Fenwick

qu'il retournt

en

Nonhamptonshire..