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tH1

CHEV. G·llANn-nsoN.

·IQ3

Vous devinez la plus imp0rtante", Made·

moi(elle; il m'efr revenu que ce

p~tit-ma1tr.e

.avoit des prétentions fur vot¡:e

e.~..m:

,

&

qu'il

fe

vantoit déja du Cueces; mais

fi.

j'avois

-quelque certitude....... que fes richeífes ne

vous difpoferont pas....

;

Eh bien, M. Grevilie , retourneriez-vous

a

Northamptonshire

?

·

.

Au fond, Madernoifelle

~

maintenant

qu:e

,je me trouve

a

Loúdres ,

&

que

j'ai-

corn–

,mandé un équipage,

&

que j'ai . <il'autres

·arrangements...;.·

,

Le parti que vous JJrendrez la-defíus

,

Moníieur , efr tout-a-fait indifférent pour

·moi; vous aurez feulemenr laibonté de vous

fouvenir , que comme vos vifües ne regar–

doient que mon ancle Selby en Northamp-

.

tonshir~

, elies ne devoient avoir de rapport

·ici -qu'a mon coufin Reves.

Je fais trap , Mademoifelle , que votifs

•pouvez erre cruelle quand vous le voulez ·;

mais vous plal.t-il que je retourne en pro–

:vince?

S'il me pla1t, Moníieur

?

En vérité ;

M. Greville fera ce qu'il plal.t a lui-meme·»

~e

demande fetJlem©nt qu'en tn'acc©rde

1a.

meme liberté.

.

Vous etes

íi

d€lícate , Mademoif

elle-!

fi

·fort en garde contre la crainte de donner

·le moindre avantáge

!

Et les hommes , l'v.{oníieur , en prennent

·rant de la moindre o<;_caíion ; mais quelque

idée que vous-ayez de ma

d~licateífe,

je fuis

E~