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CHEV. G.P-ANDISSO·N.
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d'orguejl
&
d'humiliré: Il avoit réfolu , la
.dernierefois, dene plusm'importuner; mes
d.édains l'avoient -mortellement pigué;
mai~
fa
force lui manque pour foutenir [es ,réfo–
lutions.
n
s'eíl: reproché
fa
foibleífe : je ferai
fa
femme,
i1
en a juré ; un homme tel
que lui,
fe
voir refu[é par une perfonne dont
l'a
fortune a
íi
peu de proporrio1a avec la.
íienne,
&
qui fait profeHion de n'avoir dans
Je creur aucun homme qu'elle lui préfere
!–
( Oh ,
GrHargrave
fe
trompe for ce point
!
car il y a peu d'hommes au monde que
je
ne préférafie a lui; íe
)~oir
refufé , avec tous
les avantages qu'il veut m'aífurer, avec une
figure quin'arien
áff
urément de méprifable
!)
&
M.
Reves dit qu'alors il s'eíl: coníidéré de
la
tete aax pieds dans une glace voiGne ;
c'eíl: ce qui Jui paroít tout-a-fait inexpliqua–
ble , abfolument incompréhenGble.
11
a demandé
íi,
M.
Greville étoit venu
avec quelques efphances ,
M.
Reves a ré–
pondu que j'étois offen[ée de fon voyage,
&
qu'il n'en tireroit aucun fruir. C'éíl: un
tourment de moins, a-t-il repris avec un
foupir. Ce
M .
Greville s'eíl: échappé, dans
norrepremier entrerien, a quelques difcours
un peu libres, for lefquels je veux paffer,
puifqu'il n'eíl: pat plus heureux que moi. Je
connois
fa
préfomption ; mais je fouhairerois
que !'affaire dépendit entre1101ts dela poinre.
<le l'épée,
il
n'obtiendroit pas de
moi
une
aufii pitoyable compcfüion que de Fenwick.
Ce que je ne puis pa.lfer,
M.
Reves, c'efl
E
.t