btr C1-IP.v.
C:RANDrsso~:
·ro'
ll
ne lui efl: point échappé un fourire : oui ,
'non , eíl: tour ce qui eíl: forti de fes levres,
avec quelques inveétives néanmoins comre
les femmes. Maudit fexe
!
a-t-il répété plus
d'un fois. Il eíl: bien étrange, dit-il, qu'un
homme ne puiife erre heureux avec les
fem–
mes ,
ni
fans elles)
a
peine a-t-il prononcé
' 111011
nom.
A
la
fin ,
M. Reves
l'
ayant un
peu raillé fur
fa
mauv:llfe humeur, il a
pri~
le partí de fe retirer, pour ne fe pas donner
'en
fpeél:acle plus long-temps. Ses laquais
&
fon cocher ne s'en font pas mieux trou–
vés , il les a querellés fans raifon.
Il
eíl:
pani en jurant contr'eux, avec de grandes
menaces. Que demande cet homme - la
?
Pourqtioi prendre M. Reves
jJOur
l'objet de.
fes caprices
?
Mais qu'il ne foit plus que(
...
rion de lui,
ni
ae rien,
juf
qu'
a
ma premiere
lettre.
LE T T RE X IV.
Mifs
BY
RON,
J
Mifs S
B LB Y.
Mercredi au foir, IS Février.
E
N F 1
N M.GrevillS! a pris congé de
no·~
ce foir ,
da.nsb.
réfoluti
c:;mde partir demain.
Il
m '
a d
emandé, ave
e
in.íl: ance, un momen.t
_d'emretien particulier
; I\1a .isje me fuis bie11
gardee
d'
avoir cene co
m.plaifonce pow:
lui.
:.:
Son regret, m'a-t-il
dit ,
eít de laiífer
a