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'J~·i

H

1

s

T

1

l\

t

fer fans cu1mre?

Il

me femble , ma chere;

<¡u'aprt:s les '1ertus eífentidl€s

de

mon

fexe,.

qui íont la modefrie ,- la docilité

&

l'atrache–

:ment aux devoirs deJa i:eligion

&

d·e

la

mo–

raie , ce n'eíl:. point une difgrace d'avoi.r

l'ef2rit

un

peu cultiv.é. MifaClemer etl:heu–

reufe comme votre Henriette, par

l'

affeél:ion:

d.'uue tante qui ra'a ríen de plus cher qu'elle.

Sa

n.1.ere

e:íl:

encore au monde , mais elle

n'aime qtl'elle-meme ;

&

fa

miture

foi

a

íi

peu parlé pour cette e

xcelle

nte filie , que

madame Wimbura,

fa

tan.te,

n'a. poinn eu

de

repos qu'elle ne l'ait faitvenir pres d'elle.

Nous fommes

~onve1rnes,

núfs. Clemer

&

moi '·de uous voir funs. cérémonie.

J'

aurois du vous dire que

la

réponfe

cfu

.Jernier ma1tre de \iVilfon ayant été

fort

a

fótlcav.antage) je.

l'

a

.i p

ris

en

fin

a

mon fervice.

Mil'adi Williarns

e.íl:

venue dans man ab-–

fe1;ice ; elle

paro!t

fo

rt

occupée de nos

p:iru•

r€s de

bar,

&

de

la

mienne en paniculier;

mais c'efl: encare

uJ11

[ecret pour moi..Nous

cfovons 13rendre Bos habit<s chez elle ,

&

par..

t:ir de la: en chaife

a

po.i;tenrs : elle fe charge

de t0ut. Vous

fa.urez,

n1a chere Lucie,

Íous <:¡Helie forme je dois paroitre,. lorfque

ji'

en. ferni in furmée moi-meme..

Le

Bai:oRnet eíl venu auf1i pendant que

ré.tois. chez mifs Clemer: il n'a vu que

M-

Reves, avec lec,uel il

::t

paífé pres d'un

cqnan-d'heure. Son air étoit fombre ,

fon

:Emrnem:

chagrü:ie; M.

Reves

l'

:i

trouvé

rou.c

'1i.ffe.rent de:ce qu'il l'a vu jufqu'aujou.rd'mü,

1