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c

4a~

)

tore

besoi.n

que

d'appliquer.

le

principe

qtte

j'ai pose. La societe a droit

a

l'exploitation:

mais elle n'a droit qu';\ l'Pxploitation ; son

intervention ne doit done pas avoir lieu toutes

hs fois qne cette

exploitat~o.n

est a-peu-pres

aSSbJree.

f~

Or' des .mines

a

tranchee ouverte'

OU

des

rninesd'une mediocre profondeur' exigenttrop

' peu de moyens, et sont trop faciles pour que

la

nation ait besoin de se

teserver le droit

e'en disp0ser. Ce n'est

pas

la

une exception,

c'est la consequence immediate du principe.

l'atnende done le premier article de m0n

projet

~e

decret de

c~tte

tnaniere ; les pro"

prietaires de

la

surface joufront en otl.tre de!

Celle de ces mines qui pourrorit etre exploitees

ou

a

tranchee onverte , ou avec fosse et lu–

mier.e j'usqu'a trente pieds de profandeur seu•

lement.

.

»

M. Lamerville vent faire declarer par le

premier article de son projet de decret ,

qu~

les mines font partie de Ia propriete fonciere

et ind'ividuelle des citoy ens. Cet aticle de son

projet de decret est dettuit par les suivans ;

·

~t

pourquoi cette contradiction

?

C'est qu'il

seroit physiquement

impossible d'exploiter

les tnines, si

l"on adoptoit le principe que