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taire qui vent
expJ~iter'
doit etre prefere;.
.car c'est le
prop~i~taire
du so,l qui est en
quelque sorte
Mbit_
et.treo.vers Iii societe
d~
l'exploit<}Jion
de
Ja tnifle
qi1i est
a
sa
pottcfe;
3
°.
qu'jl est
inufjle
Je
conceder les
JlliMS
clont
,l'e~ploit9tipn
&St fai::ile, qui soot
peJ:J
profonpes
-~t
p!ir
s::i:m-iehes
horizontales;
car
ppµr ces wi1Jes la nation doit s'en rapporter
~
l'il!ter&t -Ou proprietaire , et l'on n'a pas
pesrtin
i;le
i;irovoqp~r
ce qui est facik
~
exe•
~v1tqr.
Pe
ces
q:l&mes
prin\;ipes
<l6cotil~Qi
p'~Qtr-es
consequences : si la
nation
doit
in:l·
f~r~r
les proprietai.res dans la concessi-011 de&
Jllines'
non
pcis
seulam~ijt p~ur
etre justes
~
m~is
en vertu .des principes
c:l'ou
derive le
~rn~ t
de
conce~sio.n ~
il
~·ens-1,tit
que
toutes
l~s
,copcessions des mines
deja
expJpit~e~
-p<Jl'
Jes proprie taires sont nulles, et
par-la
fQ1i1$
les ,
ffii#PK
causes aux habitans du
Forez~m
repares•
.'., >'
I}
·s'f%nsuit
encor~
q·ue
les
cof1Ptl$sl~J'J.$
f;H~e1> . au.~
inve1)tei1rs
,~es .lbine~,
doivef}t
~~o
const?r-v&!6 ,:
c~r
si
le!
pati9n
a le dmit
1
d~
con cedt l'
des.
mines que }es
propribtaires
p'e~p'loitent
pas,
.les actes de l'ancie:n
gou–
yernement doivent 8tre maintenus,
l0rsq~1'il$
ont eu..
pour obj
et
l'utilite publique.
Tou~