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172 )
'-'
cedur~'
ne devoit-il
pa~
chercher
un
pretexte;
quel qu'il
ff1t '
de ne pas
executer
p
0
isoire–
ment
une
loi dont il
croyoit
pouvoir
etre
dis-
'
pense ,, ..
.
' Mais si
le
prevot
etoit de bonne foi,
si
son unique obj et
n'ct }.
t
pas d
d
~roher
aux
accuses des connoissance.s
q
i'il
est de son_in–
teret
de leur cacher, d'oit
vient
que
des hom–
mes en place, parti. an
u pr'
-&t
fire
t
tons
eurs.
efforts
pour
engao-e
les ace s
~s
a
con–
sctnt!r a
tne
am
is
i
t
'on e r
promit
d'ob–
enir;
moy
n qui r 'unisso·t le do be a an–
tage de
fl'
t
ir des innoce
,
et
'empecher
que la
procedure
ne
v"'
le
jot r
.
" Si le pr'v
"'t
'toit de
bo
e
fo·,
d ou
vient
que depuis le
cl'
cret du
d~ce
re, la
proce–
d
Ire n'a pas
ete
COIDIIl l iq
ee
?
'on
Vient
que le procur u
roi
1'
a poi
f
it or–
donner la
remi.:Jsio
?
t
oi
!
le
'v
t
cherche
a se
justifier, ·
1
vet -
taire
rega
er
s
n refi1
comme une er eu ·;
il
den1c- n .. e
q
1e
le
~ecrct
du 8 decembre soit
retracte '
et ·1
n'execute
pas la loi. Ce d
!
cret, q
ti
le ren oie au chfi–
telet , et
le depouille
de
la
p1·ocedure ,
ne
suffit-il
pas pour
lui faire
conno~
r
Fr
1e vons
avez
condamne
sa
resistance
ou ses principes?
Ce
decret
ef1t -
il
besoin
d'eL:·e
s~ n~tionnc
J
I
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