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wtrd,
tout le monde le suivit' et assista
a
cute.
audience
,.~.
C'est la premiere
dont
pa:de
le
sieur Seytres ; il ne s'agissoit que de para–
pher des
papiers :
il
n'y
avoit point la de
'
'
'1
.secret
a reve er..
>~
Le 13, nous revfnmes
_;
cent personTles
atte.12-
doient
a
la porte ; mais
la sentinelle repondit
ailX
uns, que l'auditoire
etoit plein;
aux autres,
que l'audience ne comme129oit
qu"a
midi.
Un~
oldat
'Villt dire qu'
O!Z
pouvoit laisser encore entrer sept
a
kuit personnes. Je fus de ce nomhre, continue
l'un des exposans
;
et
je trouvai l'auditoire
J
,
demi-vi.tide
:
si
,
pendant la
seance,
la salle se
remplit aux trois quarts, ce fut par des ()fficiers
et des
soldats
,
en
pantalon,
et en bonnet
de
nuzt.
>'
>'
L'autre exposant se rendit
a
la
seance
<le
l'apres-diner ;
il
fut
refuse : mais un
mot
dit
a
l'oreille de la
sentinelle'
lui permit d'en–
trer, lui
troisieme ..
La
salle
n'etoit
rem;_Jlie
qu'au
tiers.
Pendant
la
seanc~,
M.
de
Bour.
nissac dit
a
l'assemblee
que s'il n'entr@it pas
lt/1,
-
plus grand nfJmbre
de
perstJnnes
a
ses audiences
,
c'est que M. le commandant du fort ne permettofr
l'entree
qu'a
trente personnes au plus, et
qu'il
hoit
SJZbordoJ:Zne
a
SeS
orJres.
>~
>•
V
oila ,
messi~urs,
quelle est la
publicite
Tom, III.
M