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(

1

77 )

wtrd,

tout le monde le suivit' et assista

a

cute.

audience

,.~.

C'est la premiere

dont

pa:de

le

sieur Seytres ; il ne s'agissoit que de para–

pher des

papiers :

il

n'y

avoit point la de

'

'

'1

.secret

a reve er..

>~

Le 13, nous revfnmes

_;

cent personTles

atte.12-

doient

a

la porte ; mais

la sentinelle repondit

ailX

uns, que l'auditoire

etoit plein;

aux autres,

que l'audience ne comme129oit

qu"a

midi.

Un~

oldat

'Villt dire qu'

O!Z

pouvoit laisser encore entrer sept

a

kuit personnes. Je fus de ce nomhre, continue

l'un des exposans

;

et

je trouvai l'auditoire

J

,

demi-vi.tide

:

si

,

pendant la

seance,

la salle se

remplit aux trois quarts, ce fut par des ()fficiers

et des

soldats

,

en

pantalon,

et en bonnet

de

nuzt.

>'

>'

L'autre exposant se rendit

a

la

seance

<le

l'apres-diner ;

il

fut

refuse : mais un

mot

dit

a

l'oreille de la

sentinelle'

lui permit d'en–

trer, lui

troisieme ..

La

salle

n'etoit

rem;_Jlie

qu'au

tiers.

Pendant

la

seanc~,

M.

de

Bour.

nissac dit

a

l'assemblee

que s'il n'entr@it pas

lt/1,

-

plus grand nfJmbre

de

perstJnnes

a

ses audiences

,

c'est que M. le commandant du fort ne permettofr

l'entree

qu'a

trente personnes au plus, et

qu'il

hoit

SJZbordoJ:Zne

a

SeS

orJres.

>~

>•

V

oila ,

messi~urs,

quelle est la

publicite

Tom, III.

M