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ALZill'E.

ZAMOR·E.

Quoi

!

Montez..e; dis-tu?. ,_:

~L~ARE~.

,

Je veux qtie de sa .bouch e

Tu sois instruít

iéi

de tour ce qui le touc'lu~·,

Du sort qui_n@us unit, de t es-heureux fi ens

Qui vont joindre mon peajJ1é

a'

tes

€óncitoy-él'1s.

Je vais dire -a··mon fHs , dans l'exct'is de ma joie,

Ce bonheur inoui que le

del

nen.is

envoie.

Je te quitte un morrrnnt ; inais c'est pour te servir,

Et

pour serrer }'es nceuds qui vont t01rs nous unir.

SCENE

Ill.

Z.AMORE,

A.MÉRH: A,JN

s.

ZA:M:ORE.

-DE

s cieux' enfin sur moi

Ía

L~nté

se

d.édare;

Je trouve un homm.e j~ste

0

~n ce .séj~ur barbare .

Alvarez est un 4ieu qui, p_a1·mi ce~ pervéi s

~

Descend pour adoucir les rricel).rs

cÍ~

I'únivers.

na ' dit-il' un fils; ce. fils ser,í'mori frere_

l

Qu'il soit digne, s'il peut ,-· d'un sí vertueux pere

o

jour !

ó

doux .espoir

a

mon

~~Ul'

ép.erdu

r.

Monteze' apres trois ans' tu vas m''etre re!}dU

r

Alzire, chére Alzir~·,

ó

toi que j'aí, sérvie, ·

Toi pour quí j'ai tout fait , toíl;ame de ma vie ,

Serais:-tu dans c·es Iieux ? hélas

f

iwe gardes-tu .

Cette fidél

ité ,

la premi

er·é

-v·ertu

?·: _

Un

creur infortuné n'est point sans t1léifiance .. .

.Mais c1uel autre vieill.ard·

·a

n-Íe·s regards s'av~ncc?