D~ ZULIME.
z
1lJ
LiivlE ; SER.AME.
Zl!J' LIME.
EN
FIN
~
la lumiere
· L'indigne ~rahis0n se m@ntre toute entiere.
1
SÉR.A.ME,.Remérci~z le cid qui ;v,ous @uvne fes jeux ;
II v:eut v©'us dé'
liivr.erd'un amant odieux ,
Qui
troubl; votre vie, et qui la déshonore,
Qui vous perd , qui vous fuit , qui vous hait.. •
ZULIME.
T~l
est dans les r,eplis <il.e mon ·creur d:écbiré
La
force
<lu
p0is0n <il.@nt il est ;pénétr~ ;
~
Je l'ad0re.
:;. Que-si_, pciur C©l:llt©n,ner sa .fao.he per{iid,ie, ,
*
R.amire en"me··<pÚ•Wanli eilt de.mandé rna._vie;
*
S'il
m'
e.utaüx
pioos fil'Atide ,i!mniolée,e"Q fuyant,
*
$'il eut insulté:meme
a
mon ·p.eruier moment;
'1'-
Je l'eusse ,áimé t0uj0urs ;,.~t mes xpains défaillantes
_
-K
Auraient cherché ses ínains de mon sang dégouttantes.
,,_
Quoi
!
c'est ainsi que j'áime·,
.et
c'est m@i qu'on trahit
!
Ma voix n'a plus d'accents,
t<imt
mon creur se flétrit.
Je veux marche.r en vain, mes gen·oux s'a.ffaiblissent;
Sur
m.oid'un dieu vengeur les
COUJ!)S
s'appesa1~tisseni,
Je
meurs..
~
SÉ RAM E,
<
On
"\;Í:en1l'
a
U01J.S. ,
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