DE
ZULIME.
'A1C':f~
Y.
SCENE PllEMIERE.
~ÉNASSAR,MOHADI&
MÓHAD IR.
O
i)
r
;
seigneur,
il
est vrai , ce nouvel attentat
' Outrage la nature , et le_ trone
~
et l'État. ,
Courir
a
la prison , braYér votre colere
!
,
·C'est un exces ele plus, mais v~us etes son
phe.
BÉN
AS SAR.
:Ma bonté
fit
son c¡ime, et
fit
tout nion malheur.
Ils ont frop
mépr1.sém~s pleurs et ma vieillesse;
Ma.
clémence
aleurs_yeux a passé pour faiblesse~
,
i.fOH A
D,I R.
,
Me préserve le del d'excuser de'vant vous
Cet
amas de forfaits qúé je détéste toas
i
Permettez seulement que j'osé encor vol,lS
dire
Qu'av:ec trop de rigiieúr o:ri a traite Ramire.
Fidele
a
ses serniehts, fldele
a
vos desseins,
1l
a ren1is Atid'e en vos augustes inains.
11
n'a poiat' au 'rivagé accompágné Zúlimé.
_
' Peut-etre a-t-il ún cretlr et juste et magnanime;
Du
moins·
il
me jurait , entre mes niains remis;
Q_u'il
v0us avait teiiti tout ce
qu'il
a
promis.
, Enfi~ mes yeux l'ont vu dáns cé comhat horr~hlé ,
Théatre. 5,