VARIANTES
*
Je v0is jusqu'en v~r, pleurs un .tripmphe 9dieux,:
,
1<
La douceur d'etre aimée éd;te cl·ans v_os yeux:.
'·
*
Suivez-moi seul'em,ent; je vous .ferai c0nnahre
*
Que je sais t9ut ten~er, et h1eme pQur
Jlll
tr'aitre.
.Au
milieu du dauger vou!> me venez courir.
Obéissez
7
venez le venger, ou .mo.urir.·
Sérame; qtielle h@rreur a ~lacé ton v-isage
?_
SCENE
VIII.
ZULIME, ATJbE, SÉR.AME.
S
f,
RA 111 E.
·*
M
AD
t,.
ME,
il faut du s01;t dé~or,er tout l'outrage :
II faut boire
a
long traits da1~s .ce calice affreux.
Que vous a préparé cet árnour malh(:)ureux.
Au plus cruel s11p.plice on condarune R.amir~.
ZUL"IME.
*
}1
ne mourra pas seul, et devant qu'il expire..• ,
SÉ RAM E.
Ah! fuyez, croyez-moi; faites-vous cet effort;
Voús le pouvez.
ATf DE.
Nous, fuir! Alloít~ chercher ia ~ort
1-
Soutenez bien surtout
la
grandeur de votre ame; ,
ZU LIME.
.
.
/
Je suivrai·vos conséils, n'en d'outez poiút, inadame';
Vous pourrez eu·juger : et toi , náture, et toi,
'i<
Droits éternels du sa1:1g , to\ljours,sacrés pour moi
!
*
Dans ce~ égaten;¡ent dont la fureur m'anime,
'-<
Soutenez bien morr creur, et sauvez-moi d'un crime !
/