· DE. ZULIME.
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Í1e l'ec@ute :EJaS
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il la Il©Ínme' pierÍiéle
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Iría mp1ace. . .
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RAM IRE, .
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ciel
!
allons sauNer Atide. ,
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S,CENE
III.
~ ;AMI_R E,
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lJLÍlVIE,
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ÉRAl\1~.
Ztr
L.IME,
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E~
nom pir.@noncez-vr<i)us?
Óú
p@rte~-vou~ vos pas?
Je
'vous appelle en v,aiÍJ,i ;:v01;s ne me voye,z pas.
·
N'a:i-je
pas
expié mon inj,uste calere?
~
Vous m'avie,z, pardonné ; puis-je encor v0us déplaire? .
Au
nó~ dti, t~11clre a~uout qui
U0US
unit tous deirn.'. . . .
T@ut e~t pret. . . .
.
R 'A MI
RE,
,
.
t : ,,,,
' Oúbliez ce't am0ur maUrnureui .
C'en est
f
'a.it•.: ;·
ZULIM E.
h
me fu'it
!
et le jour m'abandonne
!
SÉ R
A.
ME.
·Da11s ce péril qui presse et qui v@us enf ir0nn~:
Süivez l'heureux consiúl qu.e Ramin~a dGmné 5,
Chass@ de vowe c<reur
d€
trait ~mpoisonné-.
Croyepnoi, ·jete'z-vous.enfre les bras d\tl1 pere.:
\.
A
s01¡. creur éperclu s,a fille est toujours cheni.
Cet
an1Gur
malheureuxi dont il aura p>itié
N'égaie p@int l'arcleur ·a.e sa te,~dre amitié. ,
·.V,otr€ f¡\i1hleSS€ enfin, de V©S rerhords
SUÍVÍe', .
Lui .rendvait
/t
la f@is ,etla
gloire .et
la:
vie.
J
1
/