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A M. MAFFEI.

Le sue nozze con Silt1ia, ch' era.figlia

D ' Olimpia e di Gliccfofratel d'Ipparco.

Tu

dunque sei quel fanciullin che

in

corte

Silflia condur solea quasi perpompa:

Panni l' altr' jeri. O quanto siete prestí,

Quanto mai

P'

affrettate, ogiovinetti ,

AfarPi adulti, ed a gridar tacendo,

Che noi diam loco.'

«

Oh! qu'il était humain

!

qu'il était libéral

!.

«

Que des qu'il paraissait on lui fesait d'honneur

!

«

Je me souviens enror du festín qu'il donna,

<<

De tout cet appareil, alors qn'il épousá

n La filie de Glicon et de cette Olimpie,

«

La belle-sreur d'Hipparque. Eurises, c'est done vous?

«

Vous, cet aimable enfant, que si souvent Silvie

«

Se fesait un plaisir de conduire

a

la cour?

«

Je ·crois que c'est hier. O que vous eles prompte !

«

Que vous croissez, jeunesse ! e~ que dans vos beaux jours

«

Vous nous avertissez de vous céder

la

place!

>>

Et dans un autre end.roit, le meme vieillard., in–

vité d.'aller voir la cérémonie du mariage de

la

reine, répond :

.......

Oh curioso

i-'unto i' non son: passo stagione: assai

Yeduti ho sacrificj, io mi ricordo

Di quello ancora quando il

re

Cresfonte

lncomincio a regnar. Quella fu pompa.

Ora piu non sifanno

á

questi tempi

Di cotai saerificj. Piu di cento

Fur le hestie svenate : i sacerdoti

Risplendean tutti, e doµe ti volgessi

Altro non si fledea che argento ed oro.

« . . . . . . . . . . . .

Je suis sans curiosité.

ce Le temps ren est pctssé, mes

yenx

out assez

v1r,

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