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ISC

ISN

:b;s de I'épine du dos ,

d211s Iequel il

a une pró–

fonde cav·icé qu'on nomme

Embot'ture,

pour rece–

voir la tete de l'os de la cuiíle. Ce mot

efl:

Grec ,

on appelle au pluriel

í:i;/" ,

Les parti-es charnues

qni fom de chaque cc>té de: l'o·s fa-eré.

ISCHURIE.

f. Terme de Medecine.

Suppreill.on

d'urine. Cecee maladie,

on la conlídere en ge–

neral , dépend ou du ·vice des reins qui ne

hil–

tre_nc pomc, ou du vice de la veflie qm ne ¡ecte

pomc l'nrine dehors. Cé qui empcche les rems de.

ph1ltrer l'urine; eíl: ou da'ns \e fang, qua'nd lamaf–

le fermn fonr cellement di[pofés

enrreine–

lé~

'qu'ils ne peuvem paíler l?ªr les petits rores ~es

, rems , ou p:tr confequent l'unne ne peuc erre bien

philtrée , on bien dans les reins par les v1:es des

nerfs de ces parties qui ne foí'ttiennenc pom~ les

pores fibreux dans la reníion requife

ce qm

dl:

cau[e que les nerfs aves les pores [e relachenr,

tombem

[e Aérriífent ,

alors

cau[e de leur

,laxicé

de leur chute , il [e philcre peu de chofe ou

rien dll tout du Cang. Bartho1in remarque u?e fop–

preffion d'urine morrelle caufée par le vt:e ~es

reins, dans une paralyíie de comes les parnes

m–

ferieures du corps defmis le diaphragme , avec le~–

quelles les reins

crouverent pare1llement paralyn-

. ques ,

comraet:erenc une aconie qui les rencµr

fla[ques

mols , ainíi que leurs pores ou c_anaúx ,

ils he pouvoiem

rendre aucune unne.

a dans Hechíl:ecerus un·amre exemple d'.une

I(–

churie morcelle par le refroidi_ífe_menc ~es rems,pour

avoir appliqué un marbre frotd, qm fit comber le

malade d:i11s une enciere Ifchurie , en leur caufant

la paralylie; cár les nerfs paralyciques ne purent plus

rien philcrer par lenrs canau'x

leur~ pores. _O~

conno1c que c'eíl: le vice ~es .rems qm a foppnme

l'urine, quand il n'y en a -pol11t dans la veffie, en

force qne ni le cacheter ni la foél:ion n'en fonc

poim forcir. Cecee foppreffion d'urine eíl:

~111

mal

fon dancrereux,

celle qui arrive par le vice des .

reins ,

l'~{l

beaucoup plus que par le vice de la ve[–

íie. On en meurt

on he rend de l'urine avanc le

fepciéme jour. On ·~n p~ut pourcanr gueri~,

en~

darte

füppreflion 11 arnve une füeur top1eu[e q.u1

évacue beáucoup le [erum. On !'a víl dans_une per–

fonne qui em une fopprdlion de fix mo1s ,

laiífa pas de vivre, parce qu'ell~ fuoic tous )es ¡ours

par le venere amour du nombril. L'lfchun·e par le

vice de la veílie arrive quand le femiment de la

veílie eíl: en<>ourdi

ne reíienr pomt l'irricacion ,

ou quand la ~effie ne í\:auroit faire de.connaet:ioñs,

pour rou~er l'urin:, _ou enfin

caufe que le canal

par ol1 do1t paífer I unne eíl: crop retreíli

c~m1me

fermé . Le fel'1ci1nem de la v.effie eíl: engourd1 lorf–

que les nerfs qui lui donnenc le fentiment, fonc

affiigés de paral yfie ou d~ íl:upeur;

la ye11íe ne

f<;:auroit faire de conrraet:ion quand le reílort de [es

fibres coniques eíl: bleffe par la relaxation ou par la

rrop grande di(l:encion qui les empe'che de rc:venir.

Enfin le conduit urinaire

recrel1ic par les ru–

meurs qui fe

fonc

fa bafe. Les plus ordinaires

fonr les cumeurs des proíl:races íiruées au col de la

veffie. La recencion totale de I'urine dans la maladie,

fans doúlenr

di:

un figne qne la more eíl: proche.

Elle arrive ordinairement l'onziéme jour. L'Ifchu-·

rie par la patalyfie eíl: d'autant plus dangereu[e,

qu'elle eíl: plus rebelle. Ce mot eíl: Grec,

i,xwel",

il eíl: formé du verbe

1:¡;u•,

Comprimer ,

de!

; 1., ,

rine.

IS N

ISNEL ,

liLLI!.

adj.

:Vieux 111ot, Vif. prompt

legcr

Tome

I .

lSó

viént del'Allemand

Snel

qui fignifie la mem

~hofe ,

il faifoic

lfoiaus

au pluriel. Oh a die ·auili.

'/foel l~ pas

pon¡.- dire , Promtement.

Le corps

fit

meúre

/foet

le pM-.

1:>e,dans ·un c-har fur

fon

écff._

ISO

ISOM'ERIJ;,.

Termé d'Algebre. La m~niere dé

délivrer-une équation de fraéhons , qui

fónc

i:ou–

jours . incommodes dans le cakul. Cela fe faic eñ.

rc:duifanc en meme denomi'natioh rouces les frac–

t\ons ,

en multiplianr chaque membre de l'équ¡t–

non par le dénominaceur comn'lun. Voyez

EQ!! A–

TIO_N . Ce mot viene d·e ,,,,, Egal ,

,.fe",

Parne.

ISOPERIMETRE. adj. T enue de G'eométrie. Oh ap–

pelle

Figures ,foperimetres_

Celles qui ont un

pourtour , un circtút

egaL

Vb'ye:i

Les figures font égales quand· leurs ~ires font

égales, ( Voyez AIRE

Pf\RAbL.ELOGRAM–

ME ,

)

mais elles ne font pas pGur cela

ifaperi:.

metres.

Deux parallelógrammes done l'un

l>.

pour cocés,

I'aucre

3·

Io.

fonc

égaux, ca't .

!'aire de cha·cun eíl: de

3"º·

mais ils ne

fonc

pas lfo–

perimecr·es, le premier a

il,

de ''circuic ,

le fe–

cond 2G. _Si un cerclé eíl: ifoperimecre

un aücre

figure , fon aire eíl: coujours plüs grande. Ce moc

efl:

Grec

1,,,,

Egal,

,,,p/¡,.11e",

Circuir.

I:SOPYRON.

m. Planee qui reífemble

fort

phafeole , don"c quelques-uns lui donnenr le nom.

Sa teuille qui eíl: femblable

celle d'anis , fe record

la maniere des rendons de 'vigne. A l:i, cime de

nge font d'e petirs chapiceaux menus ,

¡,Ieins d'u–

ne graine qui a le ?;Ollt dú Melanchium. Conime

au rapporr de Diofcoride le Melanrhium· produit

uné graine qui eíl: bonne melée parmi le pain 'c'elt

apparemmenc de

que

Ifópyron

'a 'tiré fon 11orn

du Grec

t,,.,

Pareil , femblable ,

"~P•<,

Ffo..

inenc. Sa graine hlle avec de l'eau midlee eíl:url.

remede polll'

ro11x ,

pour tomes a.mres dé–

feet:uofités de la poitrine. ~lle eft propre au!Ti

ceux qui font cravaillés du,, foye , du qui crachen\:

le fang.

JSOSCELE. adj.

appelle

tennes dé Geomerrie

Triangle ifoflele

;un Triangle qui a fes deux cotés

egaux ,

dónt pát toi'ifequenc les d'euic ancrle~

fonc égaux for la bafe. Ce moc t::íl: Grec ,

im;,;~,,

efi compofé de,,.,

de~,.¡¡¡,, , J;imbe,

íss

ISSANT'

ANTE,

a.dj

. Tenue

d'e

Blafotl.

dir des

lions , aigles

aucres animaux qui

mettent fur

le h~ut dé l'écu, & dont il n-e paroit que la &té

bien peu du córps.

7Je .

vair au 'chef

dé

gum–

les

,aú

/ion

ijfant

d'or.

dit auffi des

ln~mes

ani_tnaux qui

forteilt

d\1ne maifon

(JU

de qúelque

bo1s.

•

ISSAS.

111.

Terme dé Marine. Córde qui [ere

•hauífer

baiífer

i.me

vergue ou

1th

pavillon. Oh

l'appelle aucrement

Driffe

Guindereffe.

IS.SER.

'v.

a. Terme de M.arine. tirer en hatlc. bri

die,

Íffer une vergue

pdur diré, La fairé montee

au haut du m:\r.

R . .

á.

Vieux moc. Sortir.

.I!

h'éíl:

plull en

ufa:–

ge qu'au participe eh parlant de Genealogie :

lf–

fu d'une telle maifon,

pour di¿:e , Sorti ,. venu

defcehdü d 'l1hé télle maifon. Oó. trt>uve

ift

dans

les vieux livres , poúr ;

(ore,

I,ftroit,

pour ;

Sortiroiti

HHhh