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339 ]
ébnime aggrégatiort politiq'ue;
eiie a
ce
droh
~
~
moins qu'on ne prétende
qu'urte
nation
est
· liée ou
par
la volont€
de~
qi.1elques:..uns de
se~
membres,
ou
par ses
propre~.
loix,
ou
par
sori:
ancienne constitution ; or , comme. rien
de
tout
cela he
peut
enchainer unE'. nation, e1l<a
peut
done
exeréer le droit que je vl.ens
d;ad.,.
mettre
)~.
~
"Supposbns
maintenant
qu'elle
l;~xerce, j~
demande
ce
'que dev1endróht
alot~
les
biens
dn
clergé;
retoutneroht"'"
ils aux
fvadateur~
!
. Seront...
ils
possedé~
par
€haqtJe
église particu–
liere
?
Serortt•ils
partagés
entre
tous les
ecdé~
·siastiques; ou
lá
nation
en sera ...
t ....
élhf
pro•
pri~taire ~~
?
'~
Je
dis d'abord. qu'ií
est 'tm.possible
qüe les
biens retouthent
aux fohdqtet1rs: soit
pare.e
qu;il
est
tres.:.peli
de
fondatíons qui porteQt
ia
dause
de
rev€rsib1I;té ,
soit
parce
que
ces
biens
bnt
une
destlnati<:m
qt/il
ne faut
pt!S
cesser
~e
templir; et
qt1'ils
sópt
irrévocable•
meht donnés '
non point
~ltt
deFgé,
rtlaIS
a
. l'église;
inais
a{t ~setvice
des autels,
mais _,a
l'en–
tretien des
temples;
rfiais
.ª
la
portion indi–
gente
de·
la
fociété
.H•
)'Je
dis
ensuite
qu;ils
.ne
péuvent
pas
ªPíJat...
tenir
a
chaque
église
~11
partkulier '
par~e
y
l.