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a
milles reformes vtiles ' et par
c~la
seul tous
les obstades sont surmontés.
)>
" Mais , non : s'il faut en croire quelques
~ membre¡
.du clergé,
le
p
e que je vous
propose de déclarcr,
n'est
qu une erreur.
>>
"
L~ c~ergé
que j'avois cru jusqu'ici
n'etre
q~t'un
simple ,dispensateur " qu'un simple
dé–
positaire ,
ne
d<?it
pas seulement jouir
des
.biens . de
l'église'
il doit
en
cor.e
en avoir la
proprieté;
et
l~
religion
~
la
morale
et l'état,
seront
éhranlés si
l'ort touc}le..
a , ses immenses
/
.
.
·riche.sses.
>> ,
" Permet:tez
done, Messieurs , que je vous
'rappeUe
encore
_qudques ·
prirtcipés, et que· je
répo
1
m:de
a
qudg:ues·
(i)
bjectio.as. .
~> '
" La
nation
a certainemenrt le
dr~it
d'.établir
U.u
i@
me pa$ étabTir
~es
·corps ;
je
demande
.ti.'aoQird
_,,que l:'on
admet~~
_ou
que
l~on
11ie
ce
. . '
*
pru1c1pe. )'
,/~i
on le nie,
je
p1"ouverai
que
les · corp·s
ne
R'el¡].vent ,
_pas
'etre.
des
élémens
de
l"ord~e
socia]·
,:¡rnisqu'rls
n'·eristent
point
cfans ll'instant
· 'oir
ht .
sociéte
se '
forme, puisqu'í1s- n''ont
que
1$exist~nce
morale que
fot~r
cfonne
fa
foi ,
puis:..
qu,ils sont son
ouvrag'e,
·et
que
1a
·question..
de
savoir $'il
1fau.t'
1~-erm ettre
deis
sociétes par–
ticuli~res
qans
'la société ·
gétlérale ;
A:e
peut
. l
'
'
'
'
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