( 1
9') )
meme'
i1
avoit été
prononcé
qu'on
ne p01u–
róit etre ní l'un
ni
l'autre'
si
L'
on é-toit
dans
lUt
état de
domesticité'
e'
est-a-dire de serviteur a
gag_es.
M. MI_RABEAU,
t<
Avant
que vous
finissiez
1'
examen
des
caracteres
a
exiger pour etre .électeur
Oll
éE–
gible ,
je
vais vous propÓser
une
loi .
qui , -
si vous l'adoptez, honnorera la nation.
»
Jl
s'
él~ve
quelques murm
0
UrtS'.
_
.»
Si
la
loi
que
j'e
vom
propose ,"
est
,faite
pour
relever la moral e national e·, e'
eEt
moi
qui aurai
raison;
et ceux qui
murniurent
auront
eu
tort ;
je
reprens.
H
«
Avant que vous finissiez
l'examen
des con-
ditions d'éligibilité , je vais, Messienrs , vous
.en proposer une,
qui, si
vous l'adoptez,
hono–
r.era
la nation. Tirée des loix
d'une. petite
répu...
blique ' non
moins
recommandablé
par
ses
mreurs,
et par la rigidité de
s.es principes,
qm~
flor,issaf.lte
par
son
commerce~
et
par
la
liberté
dont elle jouissoit, avant que l'-injustice de
nos ministres la
foi
eút ravie; elle peut si n-
.
J.
,
gulietenient s'adapter
a
un état eomme la Frnnce,
a
un état q:ui' aux
avantages immenses de
la
inasse, de l'étendue
et
de la populati<;>n ,
va
réunir
lis
avantages
lus ·
grands encor-e
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