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126 )
confiance du peuple, et le ministere qui
l'a
le
plus obtenue
t
1),
ne soient pas pénétrés de cette
vérité......... Les,
arretés
sont
a
la promulgation! .
-le roi -pourra-t-il la refuser? .voila la question;
et je n.'imagine pas que ce puisse en etre une.
lci
de grands débats s'éleverent. Les adver–
sai-res de la proposition d.e M. Barnave , re–
. présentoient que les arretés du 4 aout'
étoien~
de véritables articles de législation, et non de
· . · constitution, q1;l'ils exigeoient tous un déve–
loppement de loix , pom; lesquelles la sanc–
tion royale seroit nécessaire; qu'on ne d_evoit ·
pas suspend!_e 'le travail de
la
cohstitutipn ,
parce qu'on nedevoit, ni se defier de la volonté
du monanql.1e, ni vouloir la foreer.
M.
MrnABEAu,
~,- Bien '
loin
&
m'étonner et de m'affiiger
.de l'espece d.e. chaleur qui se
m~nifeste
pa_rmi
nous, je m'en applaudi.s au contraire. La matiere·
qu,i
l'excíte, paroit
sans doute imporÚnte par
/
(1)
On n,a pas oublié que les ministr.€s alors regnans,
étoient
Ne.Cker, l'·archevéque de Bordeaux, Saint
.Priesc-,.
La-Tour-du-Pin, &e - Mirabeau avo1t
j1JJgé
ce
.quatuor
,
~inisteriel,
quand
towte
fa.
France
l'admiroit~
.
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