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_J

A

I

l

«- eu:'é couronnes ne p ourron t etre reunzes sur a

méme t éte.

M.

MIRABEA"U.

)>

J'appele

a

l'ordre

l'

opimmt; son assertion

est p ro fo ndément fa usse ; eil e insulte notre

.

1

drojt

public; elle b1esse la dignité nationale ; .

elle

ten~

a

faire croire que des indiv idus peu...

vent léguer des nations comme

des

vil~

troup ~a

ux

».

M. de Sillery

produ1sit alors deux p ieces

triomphant és contre l'op inion de M. de Mor–

t emar;

la

reno~ciation

meme

du roí

d'Espagne,

et les lett r es pat entes de

I,7

13.

M.

M IRABEAU.

)) Jé

récl ame de rechef, et aux t ermes du

r egl emen t ? la

divisi on de la motion. Il est na–

ture l

et nécessair e qu'elle soit div isée, pui sque

sa

p r~uliere

parti e , loin d'etre ' c-ont est ée, est

accueilli

e

par l\ma.nimité la plus honor'a ble _

pour

l' e~pr i t

national

et la

maison regnant e;

et qu e la seconde est non-seul ement

séve–

rement critiquée, mais qu'elle étabEt en core

un ~

cont radiction manifeste dans les décr ets ; ,

par ce-la seul,

qu'elle

préjuge le point impor-:

1

2.