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H
On sait
combien
, .dans les tems
de
trouble; .
1~
malignité est
totit-a~la-fois
active et puis-i
~a 1;te,
combien l'imaginaüon
électrisée
par
les.
frot t emens
de,Pesprit
de
part~,
préte de corps
aux suggestions 'les
plus abHrrdes,
aux
contes
les
phts
ridicules. - Cest
sans
doute
a
cette
maJheureuse disposition
€les
esprits '
a
cette
facilité de
tout per-;uader, de toui:.
appréheñ~.
~~r
et de
tot't croire ;
qu~il
faut
auribuer
la
maniere dont on a généralement
~onsidér~
l'irnportante que.stion de
la
validité
de$
renon–
c~ations
ge
1~ g~~~~~~-
~spagnole
a
1~ ~O\l-t
_.
r9,nne
~ >~,
~~
N
o.usn'
examinerons
point ·si
e-e
sont
le~
an~is
ou
l~~
ennemis
de la maison
~ d'Qrléans
,,
qui
ont
provóqu~
l'assemblée
1
a
traiter
un~
questiun
aussi
grave ,
dans un
moment
auss ~
p ~u paisible~. ~
S'il ·
e.s~
proba:ble
qu'~ucun
ami ,
d~
cette
rnaison
e~1t p~rt~ l'ii;id~scrétion
at.t
po~nt
de vouloir
interro.o;lp~e l'ordr~ d~1
jour,.
ce qr1'il
11:~
pouvoit f3:ire
- ~~ns ~J~ve:r
un
cr~
général
~
pour mettre au
~asard
d\rne
délibé-–
ration
n.éce~~airemen~
-pel,.t réfléc11:ie ,' un
pó.in_~
de cette importan'ce '; -:
si le marqui$
d~
s:Ílery
avoit
dans
s~
poche la renonciation
es pag~ole
en venant
a
!'assembJée ,
QU
St
'i
ow,.me
~'autres
l'affinnerit '
il étoit dans
son
~ ~
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