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.

( 1)1

)

t('!nt sur .lequel vous avez déclaré qu'il

n?y

avoit pas lieu

a

délibérer. Je co.nclus done a

la

division de lci question , et

j~

fais observer

qu'= l'ach,arnement, que de part et .d'autre , on

met dans la discussion depuis plus d'une heura,

don ne

pJ

utot

a

ce débat' la coul eur d'une

qnerel1e d'am<;nir-p:rnpre, que celle d'une

coB–

férence

s?le~nelle.

J'ajoute que cet acharne–

ment me paroit d'autant plus, inconcevable ,,

qu'assurément

il.

est difficile

el~

croire qu'une

portion de cctte assemblée,. ou' meme l'assem–

bl ée entiere., veuille jamais don.ner

a

lá France,.

un

r~Í

malgré la , nation

» .. .

M. 4'Esprémenil

parla

beat~coup

pour s'oppo–

s~r

a

la division.

Ivi.

Mrn.ABEAU

voulut répondre, on lui refusa:

Ia rparole :

~

!I~

Cependant ,. dit-i1

~

s'il est permis

a

M•.-

d'füpr.éminil de se jeter dans Je fond de

lar

quesüon, il doit

m'etre

pe_rmi~

'de

l'y

suivre ;

~i,

pressé

de son saint amour · pour la loi

sa–

lique ,. il veut abso.lument que no_us nous oc-·-

cupions de la loi sali.-que; moi a1J:ssi je demande

a

parler sur

la

loi salique' et

je

promets de

ne pas

m&me'

exiger qu'on me· la représente

» ._

I

La dis cussion fm

continué-~

au

len:demain .