(
I
17)
le bniit
meme qu'elle
-occasion~e;
nous
avons
jeté~,
je le
répet e ,
un voile religieux sur une
vérité
avouée ;
inais des
q~ie
cette
vérité
est
attaquée , il
faut
tirer le voile pour la
défen–
dre
».
»
Un
membre
1
a
dit
que
les
décrets du
4
aoút, ne sont pas constitutionnels
,~
..
'' J'observe que ces décrets se divisent en
deux classes; }'une vraiment constitutionnelle,
-
l'autre
composée des
do.nsde notre
munifi–
cence privée
H.
»
Un
príncipe
sacré,
c~est
q1íe
la
volonté
générale
fait
la loi. Cette volonté s'est
mani–
festée
p~r
les adresses d'adhésion de toutes les
viiles, par l'allégresse publique que le
roi a
porté lui-meme aux
pie~s
des autels (
1 ).
Vous
etes
dans l'impossibilité de
donner
un
effet
rétroacti f
a
la
sanc tion roya le. J'appuie <le
tout es mes forces la mo t ion de M. Barnave )'•
Et cette motion divisée p ar son auteur, fut
adoptée
et
mis·e
aux v oix.
Mais
il
y
eut du
doute dans la
délibérati.onfaite par assis et levé, ce qui détermina un aj our-
(1)
Un
te deum
avoit
été
chanté
a
l'occa¡ion des
• rete~
du 4, dans la
cha~el!e
du roi.