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.( 128 .)

ném:ent

qui n

1

étoit

alors autre

chose

qu'un

Je~ril

effi.rmatifi

Séance

<fu

1

5,

I

te·

décret

sui_vant venoit

'd'etre pro.pos.é.i

L'

assem6lé~

nationali a reconnu pat acclamationi

et déclare

a

f'unanimité Je's\ 11oix, )€Omme itn point

fondamental de la ,;,_onarchi_e Fian9oisé

,

que

la

persolzne

du

roi est inviolable

et

sactée

,

que

trone es_t indivisible, \et que la couronne dans la

race regnante

,

est !téréditaire de mále

en·

málé, par

ordre de progltziture

' .a

l'

exclusion .perpétuelle

ei

·

~bsolue

des

femmes

.et de leurs descendan1..

·,

M.

Arno11:x

demanda qu'i1 ftit en 'memeterns.

décidé

~

si la branchE'.i

regmmte

en Es:pagrie, et

qüi

a renoncé

a

se.s droits au

tt6·ne

de Franée,;

par le. traitá

d'Utre~ht,

seroit

e}~chie

de l'hé..i

tedité

a

la

courom;e'; le tas arrivant

i

ou ene·

pourroit

y

prétendre. .

,

I

MM .. Di?smeuniers ,. l;éveque

O:e

Langres

~

. du

.Chatelei,

'et

quelque.s autres ,

représente.–

rent que

cett'e

questiofil. étoit

délicate,

difficile,–

impolitique .,

et .

que

le

s.eul ·

e)(amen

en étoit

da,ngereux dans

l es circonstances. Ils· condu_•

rent_

a

¿e

qti'it

n~y

eút ;FªS lieú

1

a

delibérer

,

.

t¡u.ant a

present.,