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319

ALPH.'.IJET

bifl U.~ .

2i

Il ya de soi que les Jettres

Q

et

t;l

analogues au

Q

latin ne

nécessitent pas l' emploi de la voyelle

u

devant

e

et

i,

pour

conserver leur valeur respective.

Nous n'avons pas conservé le

Q

dans notre alph abet paree

qu'il a le meme son que le

K

et que son emploi aurait donn é

li eu a des confusions.

J , J·

Ce signe représente un son beaucoup plus fort que celui

du

J

te! qu'on l'entend souvent dans des bouches espagnoles

avec un son excessivement guLlu1·al et rude. Comme ce

son est inconnu en Amérique et dans une grande partie de

l'Espagne, nous avons préféré l'indiquer par le

J

qu'il ne

faut pas confondre avec le

J

fran cais, absolument étranger

a la langue des Incas. Ex.: b apaJ ,

riche.

Il

importe de I'emarquer que cette consonne ne se rencontre

en b1tma qu'a la fin des mots. Lf'!s grammairiens ont confondu

ee son avec celui du C final, en écrivant

capac

au li eu de

b apaj; ils ontainsi espagnolisé et identifié deux sons exclu–

sivement b 1T1Ua.

It,

11.

Cette consonne a la meme valeur que le

eh

espagno l Jeque!

es t étl'anger au francais mais non a l'italien, ou il se rencontre

sous la forme de

ce, ci.

Afin d'éviter toutes les confusions

possibles, nous avons adopté un signe nouveau. Ex. Itita,

agneau ;

ltay,

celui-ci.

H,

ñ .

Ce son :est celui de la consonne précédente prononcée en

aspirant.

Ex. :

tlar.ha,

ébour

i

!Té.

ft, h,

Ce signe représente un son bea ucoup plus fort que le

précédent; on le produit en collant la langue au palais et

contre les dents et en poussant l'air avec force. Ex .: ftaway,

traire.