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261

termes de troisieme en

b;

le autre deux

emblent devoir venir d'un

meme trono, car la différencc orlhographique est

in

ig nifiante et

cependant j e ne peux pas le

ignaler infailliblement. Le plus pro–

bable cst que par les équations

11

=

1

=

s

et

n

=

l

= ,.

il proviennent

de ceux en

11.

Dan

le ca pos cssif de cette langue s'est conservée une autre

trace claire de l'u age primitif des mot de la troi ieme. En premier

lieu on met le nom pos e eur, en uite le possédé précédé cl'un pro–

nom de la troisieme per onne:

il!l1a,

fil ·

nioo ro-il!ha,

fil

de Dieu.

895

Dan

les pronoms per onnel

est aus i vi ible l'exi tence du

theme déterminan t:

J e

akoltaa: aka

Tu

sohaa;

sa

I

ous

olciohaa; oki

Vou

tsiOlwa; tsio

I

ou

deux

okenolwa; okeno

Vou

deux

senohaci; seno.

896

Le

termes de la

econde colonne ont les po se sif ; mais, de

toute .fa<;ons, il

clonnent

a

connaitre le

rnot

fondarnentaux et ca–

ractéristiques ele chaque per onne.

La terrninai on

ha

ou

haa

e

répete dans ceux de la· troi ieme.

Elle, il , elles, quelqu'un

Ell e

Il

Elles

Ils

akaOlwa

=

ak

+

ao

+

haa

aoltaa

=

ªº

+

haci

raohaa

=

r

+

ao

+

haa

onohaa

=

0110

+

haa

ronohaa

=

r

+

0110

+

haa.

897

Le éléments primorcliaux sont :

Al.'

et

lwa.

nés de

ab

et

ba

respectivement

.Ao= cm+ nn

=

anon

=

ao; .Ao

=

ab + un

=

au

+

1111

=

ao

Ono

=

w1

+

w 1

=

0110.

Ono

=

i 1b

+ un= ono.

J

ne pui

pas choisir entre les detLx procédé , pui que je ne

con nais pa

l'évoluti on hi torique de l'iroquois. P eut-etre sont- elles

de.

forme

simples bien que cela ne me paraisse pas naturel.

L'r

caractéri e les parole

pronominales masculin es et marque précisé–

rnent, j e crois, l'appellatif ((homme» ,

lit

en sumérien.

89

11 y a des

ha hecho mucho ante

lo mismo.

(Emerson,

I nclic111

m.yths,

p.

519.) -

J 'éc1·i · tel

quo c'es! dan

lo texto pt non

akonha,

parco que «l'n, en iroquois, comme fmale

d'un mot ou d'w1e syllabc, cst toujours nasale» .... Aussi ai-j e préféré,

a

imita–

tion de Müller, ind iquer que la voyelle

o

e t nasale: ce qu.i,

ii

1110 11

avis, su ffit.

M. Wright lui-niéme a ob ervé bien ava nt la méme conduite.

8 97

N.O., ·p.

100.

Müller, II, p.

208.

898

Ledrain, p. 279.

Honun

.el, no.

260.