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2ó9

en uite, avec le temps, le

impbfier, mais en restant toujour pour

·dix.

En Chine, dan

le monnaie , on voit la croix dé ignant la

dizaine.

887

Comme cela e t provenu du

eos idéographique de la

croix dans la langue chinoise (( complet, complétén

8

~

8

peut-e~re,

pour

cette cau e, quelques peupl e d'Amérique l'ont il pri pour dix.

De plus

B cir

+

a été une mesm e de capacité parm.i le

chal–

déen

et peut-etre, par Ja , a-t-il eu quelque rapport plu ou moin

direct avec la dizaine.

88 9

XII.

Dan

la langue iroquoise joue un role tre -notable le lerme u–

mérien

ne

de troi ieme per onne qui, comme j e l'ai déj a dit, e t son

préfix e , marque son pluriel , équivaut

a

«eux» et au

i , comme dé–

mon tratif,

«CelUÍ-CÍ».

89

º

Il a ·été pris comme une espece d'article ou oit terme détermi–

nan t préfixé aux noms au singulier :

herhar,

ou

ne herhar,

chien , le

chi en;

11-on 111Jfsia,

la terre.

89 1

Le duel

e forme avec le nom au singulier , en lui mettant le

préfixe

te-

et le

uffixe-ke: lca11011sa,

mai on :

te-kanonsa-ke,

deux maisons ;

et , eomme le dit le mi sionnaire N.O. , les dem;:

terme

emblent

corre porn]re au nombre deux en iroquoi

tekeni

892

qui sera étudié

plu

tard.

·

Le pluriel

e construit en ajoutant aux noms le suffixe-ke et en

mettant devant cemc-ci un numéral quelconque ou un adverbe de la

rn eme classe, ]jé

a

lui au moyen de

ni

ou

n

893 ;

kanonsa,,

mai son ;

asen-11i-lmnonsa-ke,

trois mai on. .

·

K e

correspond , dans ce ca , aux terme

en

b

de la troi ieme

en sumérien, ele orte que l'iroquoi

uit le procéclé général le plu

employé pom la formation du pluriel.

Ni

ou

'11

e t la particul e

déterminante don t j'ai parlé au commencemen t et entre forcément,

quand il

y

a un numéral , peut-etre comrne reste de la structure

prirnitive des nom

accornpagné

tous cl' un theme de la troi ieme.

J e donne la meme origine au..-x

erément qui allongent le mot

et qui varien t, suivan t leur

terminaison , quand il est pri

en un

sen

partieulier, mais sans altérer j amais on sen .

e ont

ta,

·era,

tsera , kwa.

s

9

.i

Le p remier et le clerni er peuvent etre dérivée des

891

i\IüJlcr,

II,

p.

207. N. O.,

Étuiles

]Jhilo logiqu es,

p.

88.

892

I

.

O.,

p.

89.

i\füHer,

IJ, p. 207.

dam, pone lambien como prefijo

tek-

(E xa11um,

p. 166). -

Adam mct aussi comme

préfLxc

tek- (Examen,

p. 166).

803

.

O.,

Étu~les,

p.

89.

~fii1Jer,

IJ,

p.

207.

80 '

N.

o.,

p. 9.

17

*