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relation rnarquée, qu'il
y
a entro le
uffi xo du phu·iel
t les suffixe
prouominaux de Ja conjugai on, provenant tou
les detL'\ des termc
sum 'rien
<le troi i' me por onne.
}falo-ré tout m n désir de limi t r
elle comparnison de
langue
américaine
avec le sumérien aux }Jroportion d'nno simple introduc–
tion, je ne puis ccpoudant, pa pas er sou
ilence certaines r
sem–
blance
o-rammatica1e
qui
ont de la plu
haute importan e.
J o
copie Hal éV.)' qui,
a .
on tow· cite Amiaud au , uj et d
l'u age qu·on
fai ait en
umérien de. partieul
pronominale
en
b
et en
11:
«
l'n xamen minuti e1Lx de es pa í'age prnuve ju, qu'a l' évidence
que
bi
et
11i ,
]oin d'etre de
imple
équivalent , jouent cha un un
rol o particulicr et bien dét rminé.
L
prcmicr
e rapporle touj om
aux dieLL'\ et aux per. 01mo précédemment nomm 'e ; le s cond, (ou–
jo1u-s a do- etres inanimé ou a de. por onne
innomm e
. . . .
ll
moyen d
cett.e cliffércnce, le pina es, composée
de diver
ujet
dépcndant les un
de- autres, ded enn cnt plu
elair
malg ré l' m–
brouillem nt produit fréquemmont l a r 1 s inver ion
syntaxiquc• ....
A ca u e de cr
. uflixc»
l'cxcellent Amiaud ava it
' tabli deja cetle
ditrércn ·e clrpuis
1
e -!:
'
Tou
ce,
uffixes étai nt-il
a.b olwnent.
équivalcntsi'
Et ceux: qui ont parlé ou éeri t, il .)' a eles mj]]ier
el'ann e , la. Jangue ele
in cription
de Gucl ra, n'avaient-ils, pom
choi ir entre tant ele fo rm
, d'autres gLúcl e que le1u- bon plai ir?
Cela n'e t guere aclmi
ibl e.
Entre
11a
et
11i,
cl'une part ,
ba, bi bu,
de l'autre le choix était
an doute réglé par clr
loi
cl'harmonie.
"llI. Ifommel a mi
récemment ce point en
lumiere. Mai
quancl
devaiL-011 cmployer plutót la forme en
b
que la forme en
11,
ou ré–
ciproqucm nt '?
Il n'y a plu
ici certainement une qu
lion de pho–
n étique, de rencontre ele con onne ,
a r nou voyon
le meme mot
recovo.irtantót le , uffixe
11i,
tantót 1
uffixe
bi.
Il y a une que ti n
<le , y1itax .
ll me
emble ré uHer presque síJrnment des in crip–
tion
ele Tell-l oh que l
suffixe
'lla ,
11i ,
'y rappor tent touj our
U.
de per onne ou a de
di eux ,
ba, bi
a
eles cho e, .)) "ºº
omme !'ama remarqué le lecl ur, Hal évy et
n:úaucl attribuent
une fonction inver e aux termes
umériens
el ·
troi ieme en
b
et n.
"lllon but n'e t pas ele cliscuter spécialement ce point, mais el e mar–
quer le para.llele exi tanL a cet. endroit entre Ja vieill e langue a ia–
tique et Ja famille algonquine, soiL qu e l'usag
ele
terme
se soiL
chan o-é ou non clan
le
deux continent .
J 'irai au-de\·ant cl'un
obj ection : si la clifl'ércnce, donL il -·agit, a du etre capitale dan
la
synlaxe , umérienne, comment e fait-il que toute le
langues améri–
ca.ines ne l'aient pa
con ervée? D'abord , nornbr u e
ont
ell es
qui
c1i
Lribuent le etres en deux: groupes :
out.requ 'il
y
en a d'autres