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chez le quelle
w1e étude profonde et minutieu e de leur syntaxe
rével qu'on ra employé antérieurement. D\m autre coté il paraiL
que cette différen e n'a pas été rigoureu ement ol)servée dan
lo
uméri en lui-meme.
«J e reconnais qu'á s'en fi er aux
texte
bilingue
des \ VAJ,
l'opinion que j e vien d'émettre ne
aurait etre un in tant outenue.
Le uffixe
bi
'y applique ouvente
foi
aux >tres animé
aus i bien
qu'a ux cho e .
:Mai qui
outiendra que ce
text.e
pui sent lutter
d'autoriié avec coux de Tell-loh ? Nous ne le
po édons que ous
la forme de copie
a syri enne , plu ou moin
avantes et fidel es,
éparée de originaux par un nombre plus ou moins grand d'inter–
médiaire . De l'age d'aucun , nous ne savons ricn de précis. P eut–
etre quelque -uns remontent-il á une haute antiquité ; d'auLre peut–
etre ont été
compo~é
á des époques relativement récente par de
pretre
a
;)' rien ou babyloniens qui ne pos édai ent plu, lo urn éricn
que omme une langue morte, comme on possédait le lat.in au moyen
age.
' tto derni ere hypothe
paralt ·e vérifier pour une parti o au
moin
el'tm hymne bilingue, ou e lit le nom el' \
ur-ban-abiJ. Pour
précieux que
oient ce
textes au point de vue léxicographique et
mern e,
i l'on veut , au point ele vue g rammati cale, on ne
aurait
done hésiter , dan
tme que tion de forme ou do syntaxe, á leur
préfér or les inscription unilingues de tres ancien roi . de Chaldée.
»
50 1
De loute fac;on ain i s'explique pourquoi le Jangues d'Arnérique
ans oxception n'ont pa
dislingué elans leur grammaire le
etres
animé
et inanimés.
Du reste,
en présence d'a utres analogi es,
général o dans tout le contin ent et bi en prouvée , peu importe qu
certaines langue ai ont porelu cet u age; mai , j e lo réi)ete, iJ exi te
dans beaucoup plu qu'on ne croit, comme j e le elémontrcrai plu
loin .
.J' en revien
a
la famill e algonquine et fai s remarquer mm
anomali e ele la troi ieme per onno au temp
pré ent dont il s'agit.
Au
inguJier, elle peut Mre égale dan
les verbes transitifs, intran–
sitifs et indéfini .
J e elonnerai tm exempl e :
akih-ew
il
le aime
Pi11ntl-cw
il march e
Adam appuie beaucoup
Ul'
oc
fail" º~;
mai , en réalité, l'erreur
existe
ulement pour nou , car , tandis que lo verbe transitif em–
ployait
toujoms
r 11;,
l'intran itii' a pu en employer el'aut.re , et qui
cambia el nombro de s ingular
Ít
plural cuando lleva pose ivo ele tercera per ona ,
ó
es suj to
ií
obj eto
c¡1
Ja tercera per ona
ele
los w rbos
(Historie• general de
América,
t.
l,
vol:
J,
pp. 833_:._834).