PRCHES
l•ÉR IODIQllBS•.
Hareng.
Sordine,
3,10
ADDITIONS
L 'Art de saler un
Hareng
ne paroit pas devoir oc–
cuper une place di>tinguée dans les Annales du Mon de ;
et
cet Art cependant est le fondement de
la grandeur
et de la richesse
<l'AMSTERDAM
en particu lier : dans
u n pays autrefois stérile et méprisé, dans les Marais
b a1aves, les
Harengs
ont élevé une Puissance riche et
r espec1able, qui s'es1 fait recio uter sur le meme Élément,
d ans les memes Mers, que ses Pecheurs avoient renclue5:
tributaires de leur pays . Des l'an
1 61
o,
le chevalier
'\V
ALT ER R ALEIGH
pr~scnta
un calcul qui ne fu t pas
cl émcn ti par
le
Grand P cnsionnaire
DE \VJTT,
et dans
l~qnd
il prouvoi r que la
HoLLANDE
faisoi t ei1
RussIE
>
en
ALLEMAGNE,
dans les PA
YS-BAS
et en
FRANCE ,
sa puissance.
LA
SARDINE ',
sans produire autailt de bénéfice que
Te
Hareng,
n'est pas négligée par le Commerce: aussi la
P~che
en est-elle suivic avec activité dans la saison ou
srs Voyagcs la ramenen t dans nos filers. Plus agréable
au gout, lorsqu'e ll e est fra!che , que le
H areng
avec
lcquel elle a beaucoup de rapport, elle a, comme lui,
' La
Sardi11t
cst
du Gcnre des
Clupts,
co:mne
le
Harwr;.
i-clcvan
t
page
~
97
,
N
otc
1
) •