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A
L'HJSTOIRE NATURELLE.
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pour aller au - devant des B¡incs de ce poisson. l!s sont
tres-gras , et leur chair est délicate et de bon gou{ ;
mais , comme elle est en méme temps huileuse , elle
exige plus de soin pour ctre conservée , et ell e n'est
jamais aussi bl anche que celle des
Hare11gs
qu'on sa le
sur nos C otes. On fait beaucoup de cas des
Har¿ngs
Pees,
particulierement en Allemagne.
On prend aux C otes de
FRANCE,
sur-to•1t dans le
e
ANAL'
c¡uelqucs
Harengs
qu'on nomme
H albo1frgs ;
il s paroissent dans une autre saison que c1 ux qui arri vent
par bandes nombreuses:
il
s'en trouve souvent dans les
M anets ' c¡ue l'on tend pour ' la peche des
!Vlar¡uercllllx.
Quoique vides d'ceufs ou de laite, du moins pour la
plupart, ils sont gros et meme plus larges que les amres
H arengs.
On croit assez
énérnlen1c1n que ce' son t des
H are11gs
qu· so t
dans nrn; Mers
UQdis que
les autres
SOflt
•n• l
NoJlD ·
·van
cehe
opinion , les
H
nt pas dis
des
Jlllarcliais.
D 'autr
ent que
les
t1!bo11r•'S
des
Harwgs
;gu1
O)l
dtv
Colonne dont
om1t!ll
e mme l'Avanc - garde ; ce
qui fait qu'ils sont gras comme des
H arengs .Pres ,
dont ils ne d ifferent que pare.e qu'ils sont arrlvés plus
tard dan s nos Mers.
D
U HA M E L
s'est permis une
conj ccture qui pourroit résoudre la difficult.; : il pre–
sume qu e
le
Halbourg
n'est peut - etrc que la grande
Es
pe e de
Hareng
qui , suivant
ON -
L1
,
É,
habite
• Le
:hnet
e!! une
esp
\ce
de lilet ou nappe simple done
les mailles
5011[
proportionnées
a
la grosscur des poissons qu'on
5c
propose de prendrc ;
e r
il füut que la
t
' te
du poisson
s')'
ng•gc
et qu'il
trou e
rctrnu par les
oui'es.
V
Pt.<
HES
VÉRIOl>IQUES,
Hareng.