A L'HISTOIRE NATURELLE.
premiers jours
d'Oct~bre
que les
H are11gs
commencent
Pf..cHFS
a
entrer dans le
c
ANAL'
et la peche s'en continuc
PÉRIODIQUES.
jusqu'it la fin de
D~cembre
et meme plus tard. On estime
H3rcng.
plus ceux qui ont séjourné dans les Eaux de la Cote
d'ANGL ETE RRE que ceux qui se. sont adonnés aux
Cotes de F R
A Ne E :
aussi nos Pecheurs du
CAN AL
se portent - ils vep sa Cote du
No~d
au.ssi pres que les
vents er l'érat de paix ou de guerre, leur
perm~ttent
d'en approcher.
Le temps ou les
Ht1re11gs
quittent, chaque année, les.
Parages de l'EUROPE 11'est pas invariablement fixé; mais
tous partent ensemble¡ et, des que le gros de l'Arméc a
défi lé ,
íl
n'en pal'oit plus , ou ¡rresque point jusqu'a
l'ann ée suivante.
JI
est probable que l'époque de leur
départ dépend des ven-ts qui' regnen t ' de l'état de
l'armosphere e de la tempiiratur
peut-etrc -a,u•si de la
disparition
Ju
ap,Jll
e
e o
ar~lvé
de
l
se te>
et des Vers marms
u k s a tlreó,.t e lQ
fi
e
t
q .elque
qn
1
acharneme'n
l~s
Harengs
sont poursuivis ,
d·~ep"'u"'1""s-,_.,,e~moment
ou ils se montrent
sur quelqu'une des Cotes ou des iles d'EUROPE, jus–
qu'au temps ou ils les aba;ndonnent;
·0'1
est étonné que
la
génération qui a p1is ,naissance dans les Eaux de nos
Région s , et
q.uiremonte dans le NoRD a.vec les débrrs
de celle qui en étoi t sortie, puissa sulfoe
a
repeupl er
les ME
R
s
AR
e T r
Q
u
Es
qui,. ohaque atinée, nous en
renvoient des Col9nnes aussi nombreuses que si c'étoi t
la
premiere migratio n : et, en supposanr, comme touu
-
semble l'indiquer, qu'une partie fraye dans nos climats,
et l'autre dans les Eau:x: du NoRD , il faut que la mul–
tiplication de cette Espece de poissons soit prodigieuse,