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R.
lE U S E S.
6g
mée l'est du fe.u
Anoumánani;
l'npplicat1otl ·
el'
une définition conu
u
e au défin'i
j
usques.:..Ja
i11connu ,
Oupamánam
;
enGn
l'autori'té
d'une
párole infaillible
Apta'clwbdmn.
Apresla
Logiqu.e, ils mcnaient le urs écoli.ers;·..
parl'examen de ce monite sensible,
a
la con..
naissancede son Auteur, dont ilsconcluaient
l'existen ~e
par
l'Arr.oumánam.
Ils éon,–
cJuaient dcla me me maniere son intelligence,
et
de
son intell:igence son
immatérialité~
Quoique Dieu· de sa nature soit esprit,
il
a
puse rendre, et s'est effectivement rendu
s·ensible: de
Nirákara
il est devenu
Sákára
poul' former le 1llOnde ._, dont les a_tomes indi–
visibles , comme ceux des Epicuriens , .et
éternels, sont par eux:::.memes sans vie.
~
L'homme est un composé d'un corps et de
d eux ·;¡¡mes; l'une supr.éme,
Parmndtma,
qui
n'es.t antre que Dieu; et l'autre
animal~
Sú)átmd;
c'est en l'homme le pt'Íncipe sen .:.
sitif du plaisie ,et de la douleur , du desir ,
de
la haine, etc. Les l-ms veulent qu'elle soit
~sprit;
les autres
.qu'elle
soit matiere, et
un
onzieme sens dans l'homn1e; car ils clistin–
pu.entles
organes
aGti fs des orgranes
sehsitifs
Oli
passifs,
ct
ils en
comptcnt
d ix. de
cene
fa <;ori.
· Enlln , en
ce
qu ' ils
appellt'nt s-upreme
sagesse, i}
me
semrble
qu'ils
tomh ent d ans
}e
sto'icisme
le
plus
outré: il faut
éteindt'C
ce principe
sensitif,
et cette extiuclion. n e
peut se
faire que par
l'u nion
au
Parlunátmá.
·ccue
lll1lOn
Yogmn
Oll
Jog '
d'ou
vient
le
P,Ol}l
da
JO{J'U.Í ,
a
laquclle
aspire
inutilement
._:,