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LE
T TRES
É
D U' I A N T E S
muniquée
a
toutes les Castes : plusieurs
Au–
teurs Choutres et meme Parias s'y sont ac–
quis un
grand nom.
La Philosoph ie qu'on nomme simple–
ment et par
excellence
Chctstram
, .
science,
est
bien
plus
mystéri e use. La
J
ogique , la
l\1étaphysiq ue,
el un peu de P hyshue
bien
i mparfR jte , en sont es
parties.
Son u niqu e
fin, le but oú
tendent
tou tcs
les
re ~her
b es
philosophiqu.csdt>s
)racm<n
es ,
est la d éli–
VrRn ce
de J'ame, d e la captiv ité et des mi–
ser es
de rette vie' par un e
félicité parfaite,
qui
essentiellement
est,
ou
la
délivrance
de
·
l'ame , ou son effet imméd.iat.
Cornme p,qrmi les
Grccs
il
y
eut plusieurs
Eco1es
de
Philosophie , l'Ion. ique ,
l'Aca–
d émique, etc. il
y<~
eu
dans
l'a ntiq túté,
parmi
le3
Bracmanes ,
síx
princjpales Ecoles ,
ou
S cctes philosophi t¡ues , dont
chacune était
di st iJ11guée
des
aulres
p a r quelquc
senliment
p i:u·Liculier
sur
la
félicité
et
sur
les
moy<>ns
d'y
parvenit·,
IVjráyam,
V edántmn, San–
kiam,
L}ft'mamsa, Pátanjalam, Bhassymn,
sont
ce
qu'il appe11ent
simplement les six
S ciénces,
quj
ne sont
que
six Sectes
o
u Eco•
h·s.
Il
y
en
a
en
ore plusieurs
autre~
comme
l'Agmnachástram
et
Bauddamatham,
etc~
qui sont autant
d ' hé rési es
en matiere
de
Religion , trrs-opposées
a u
d'.flarmaclz ás–
trmn
dont j'ai padé, qui contiP-nt le
poly–
théisme
universf'll ement
approuvé.
Les
Sectateurs
de
l'Agamam
ne
veulent
po.Ínt de différence de conditions parmi les