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Madrasl'~yant
envoyé pour r'pé ter l e fils du
:Major C énéra l qu'un
pet.itGouverneur Mo re
ava i t
a rr ~té
prisonnicr nr la routc
de
Pon–
di cher
; il eut le malhcur d'etrc rencontré
pnr
un d 'tachement
d
l'armée du N abab ,
q u
i ,
apres
millc
mauvrtis
traitemen~ ,
]
ui
annon9a qu'il était son prisonnicr , a ' n
i
qu'uu Con
eiller
(1)
dn
Cons il souvrrain,
q u'on luí a,·ai
t
donné pour col1' gue .
Qud–
qnes jours apres 1\Iafouskan , fi]s ainé du
Nahnb,
p::~ru
t
a
la
tete de h uit
a
dix mille
h om
mes, dont quatre
mille
étaicnt
ele
cava-'
lerie.
l.Yl.d
Kerj an fut d'abord présenté
a
ce Se igneur , qu i , l'a ant reconnu poue
J'avoir u aupre de
lYI.
J)up]cjx, l ui fitheau –
coup d'amiti 's ,
sans cependan t
vouloir
jama
i
ntendre
a
lui rendre
la
libe rt é.
n
p rop
Sa
a
e
d
llX
prisonnicrs de traite¡· avec
l ui
de la reddi tion
de
Í\'ladr:1s ;
mai
sur ce·
qu'ils lu i r présentcrent
crn'il fa] ait
pour
cP.las'adr sser au Gouverneu r
de
Pondí–
chcry ,
i l résol ut de cont1
nuer
sa ro ute ,
mnrchant vers Madras) dont il entreprit d e
fui re le si ' ge .
lYI.
Duplcix voyant
1'
obstinat
i.ondes
I\
o–
r Ps
a
ne poin t rendrc
]e
d euX prisonnÍers ,
env
ya
o: d ee a u Go
1vcrncur
de
l\Iadras de
fa
ir
e
sortir
de
sa p
are
un
f
rt
détachemen t
pour t<:ntt r de l-es l'nlcver, s'il était possihle.
Il s
étnil'nt
logés dans une ma ison de campa–
gne des Capucins ,
a
la tete d e l'armée du.-
{t)
M. Gosse.